Bien imprimé, façonnage nickel
Merci pour la brochure ESAD. Bien imprimé et façonnage nickel des images en double page.
Bon week end
Merci pour la brochure ESAD. Bien imprimé et façonnage nickel des images en double page.
Bon week end
Le Prix Niépce 2018 Gens d’Images a été remis ce jeudi 17 mai 2018 à Paris dans le salon d’honneur de la Bibliothèque Nationale de France, Site Richelieu. Le jury, composé d’une vingtaine de professionnels du monde de la photographie, dont Alain Escourbiac en tant que vice-président de Gens d’Images, et présidé par Héloïse Conesa, conservatrice pour la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie de la BNF, a choisi d’attribuer le prix 2018 à Stéphane Lavoué.
Laurence Engel, Présidente de la BNF. A droite, Nathalie Bocher-Lenoir, Présidente de Gens d’Images.
A gauche, Philippe Gassmann, Président Directeur Général de Picto et Héloïse Conesa, conservatrice à la BNF.
Alain Escourbiac, Irène Kaminka, Céline Anaya Gautier, dans le public du salon d’honneur de la BNF.
Le public du salon d’honneur de la BNF
Héloïse Conesa, conservatrice pour la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie de la BNF
Philippe Gassmann, Président Directeur Général de Picto.
Picto Foundation, Fonds de Dotation des Laboratoires Picto, est partenaire du Prix Niépce depuis 2016.
Fondé en 1955 par Albert Plécy, Jacques-Henri Lartique et Raymond Grosset, l’association Gens d’Images contribue au rayonnement de la photographie en France grâce à ses activité (Café Images, Ateliers et Visites) et ses prix :
L’originalité de l’association Gens d’Images est de brasser plusieurs points de vue sur l’image fixe ou animée, quelque soit leur support. Gens d’Images regroupe en effet des créateurs, des producteurs, des diffuseurs, des conservateurs, des utilisateurs, des chercheurs, qui se retrouvent pour parler de leur métier, de leurs expériences, de leurs recherches. Escourbiac l’imprimeur soutient les actions de Gens d’Images, appréciant notamment l’esprit de l’association basé sur la profondeur des rapports humains – d’autant plus qu’Alain Escourbiac y est impliqué en tant que vice-président.
Le photographe Stéphane Lavoué, lauréat 2018 du Prix Niépce.
Aussi à l’aise dans l’art du portrait que dans la photo de reportage, Stéphane Lavoué est né en 1976 à Mulhouse. Habitué des grands magazines internationaux, il a travaillé sur un projet de conte photographique dans un petit royaume aux Etats-Unis : le North East Kingdom of Vermont qui sera exposé au festival Images Singulières à Sète en mai 2015 et publié aux éditions 77 en 2017. Parallèlement, il réalise en résidence à la Comédie Française les portraits officiels de 65 comédiens de la troupe. Notons également sa série Et Paris était en campagne ! repérée par le journal « Libération » avec lequel le journaliste collaborera une dizaine d’années.
La candidature de Stéphane Lavoué était parrainée par Marie-Pierre Subtil, rédactrice en chef de la revue 6Mois.
Photographies de Stéphane Lavoué exposées au salon d’honneur de la BNF.
Photographies © André Donzon
Bien recu les 2 exemplaires de pré-série.
Le résultat est magnifique, je suis bluffé.
Mes félicitations à toute l’équipe Escourbiac
Après notre bel événement d’hier, je reviens vers vous deux pour vous remercier de vos efforts, votre célérité et votre efficacité.
Nous avons reçu nos livres dans les temps, les avons distribués comme prévu au cours de notre journée « biodiversité et transport aérien » au Ministère de l’Environnement et tout le monde l’a apprécié. Nous en avions mis 150 à disposition libre et tout est parti!
Ci-joint la photo du Président de notre Comité Scientifique livre en main!
Bon week-end et à une prochaine fois,
Julia Seitre
Coordinatrice scientifique et administrative
HOP!Biodiversité
Messieurs,
J’ai le plaisir de vous confirmer la bonne livraison des exemplaires de la collection AlleRetour et de vous faire part aussitôt de toute notre satisfaction dans l’exécution de la commande.
Dans l’attente d’un prochain échange plus détaillé, je vous souhaite un très bon week-end.
Avec nos remerciements,
Bien à vous
Bonjour,
je viens de le recevoir : un grand merci à tout le monde, le livre est superbe. Et ce papier est beaucoup plus agréable que ce que j’ai pu faire précédemment !
A bientôt et encore merci pour votre confiance
Amitiés
Lionel Lucas revient sur son expérience d’édition et commente son choix du lieu d’impression.
J’achète pas mal de livres en ce moment et la première chose que je regarde… c’est le lieu d’impression. Je suis un peu déçu quand je vois qu’ils sont imprimés à l’étranger, parfois en Chine.
Cela me désole pour 2 raisons. La première, c’est la question financière. L’économie réalisée n’est pas monstrueuse entre un livre imprimé en Chine et en France. Mais les éditeurs traditionnels ont des coûts de fonctionnement élevés et doivent générer du profit, cela peut se comprendre.
La deuxième raison qui me choque est plus profonde. Imprimer un livre à l’étranger, cela veut dire que l’écrivain et l’éditeur ne rencontrent quasiment pas l’imprimeur.
C’est dérangeant car cela traduit un manque d’implication dans la sélection des textures, papiers et modes d’impression. Pour des livres « factuels » sur des sujets lambda, cela ne pose pas vraiment de problème.
Mais comment mettre en adéquation un sujet passionnant avec des matériaux adaptés dans ces conditions d’impression ?
Pour Voyage en Zone rouge, nous avons passé des journées entières à sélectionner les matériaux, les finitions et les vernis. Quand on fait un beau livre sur un sujet qui tient à cœur, on consacre du temps à soigner sa présentation.
Je vais même aller plus loin. Le premier volume de voyage en zone rouge est un succès et nous avons souvent des félicitations (j’en suis à +600 messages de remerciements assez touchants) mais nous avons détecté plusieurs pistes d’amélioration.
Pour cette raison, nous travaillons actuellement sur les sujets suivants :
- Réalisation du coffret collector (25 unités – probablement le plus beau coffret jamais réalisé sur le thème automobile Honda)
- Conception d’un coffret permettant de ranger les 2 livres (lancement de la campagne pour le volume 2 d’ici un an)
- Travail de fond sur les évolutions stylistiques du volume 2 (intégration de vernis supplémentaires, travail sur les textures et papiers, rendus type 3D avec lunettes).
Depuis février, je passe beaucoup de temps à peaufiner ces sujets.
La raison est simple : quand vous recevez le livre, vous devez avoir le sentiment que votre passion est mise en valeur. Vous prenez plaisir à le lire, c’est essentiel. Vous devez également ressentir l’implication qu’on y a mis.
Alors certes, le livre coûte minimum 10 € de plus que si je l’avais imprimé en Chine (avec des matériaux moins nobles !) Mais est-ce important ? J’assume totalement ce parti pris. Le discount n’a pas sa place dans notre univers.
Vous pouvez avoir la satisfaction (et la fierté) d’avoir fait bosser des professionnels français (Escourbiac) dont le talent n’est plus à démontrer (3 cadrats d’or).
C’est pour moi un honneur d’avoir réalisé ce projet avec une multitude de talents hexagonaux, et soutenu par une communauté aussi vivante que la nôtre.
Alors merci à vous pour votre soutien et votre confiance, c’est une vraie source de motivation pour la suite.
On va se décaRcasseR pour faire encore mieux, et j’espère vous trouver à nos côtés pour soutenir cet ultime projet consacré à nos chèRes Honda !
Lionel Lucas, lundi 23 avril 2018
Le livre Voyage en zone rouge, l’histoire Honda Type R dans son coffret Special edition
Le choix du papier chez Escourbiac à Paris : Curious Matter Désirée Red 135 g
Lionel Lucas au moment du Calage chez Escourbiac à Graulhet
Signature du BAT chez Escourbiac à Graulhet
Fabrication du coffret Special Edition, atelier de façonnage d’exception Escourbiac, Graulhet
Fabrication du coffret Special Edition, atelier de façonnage d’exception Escourbiac, Graulhet
Fabrication du coffret Special Edition, atelier de façonnage d’exception Escourbiac, Graulhet
Le Courrier de l’ouest a publié vendredi 13 avril dernier un article sur le livre de Pierre Saint-Ellier « Saumur en 3D, la ville aux multiples visages en relief»
le courrier de l’ouest – Saumur – Le photographe Pierre Saint Ellier donne du relief à la ville
« Pour aller au bout de sa démarche, Pierre Saint Ellier a fait preuve d’ingéniosité à plus d’un titre. Armé de deux appareils photo synchronisés avec un déclencheur multiple, il a sillonné la ville depuis presque dix ans et rapporté des milliers de photographie. C’est une sélection de 122 d’entre elles qui est donnée à voir dans son livre « Saumur en 3D, la ville aux multiples visages en relief »
Pierre Saint Ellier revient également dans cet article sur la difficulté technique du 3D : « Cela fait deux ans que je travaille sur ce livre. Il m’a fallu reprendre chacune des photos pour en revoir la colorimétrie, qui n’est pas la même pour un tirage chez l’imprimeur que pour un écran ».
Rappelons qu’Escourbiac a également imprimé en 2014 le livre de Laurent Doldi « Toulouse en 3D, les splendeurs de la ville rose en relief« .
Article de Yvan Georget paru dans la Le Courrier de l’ouest , le vendredi 13 avril 2018.
On ne compte plus les publications donnant à découvrir des vues photographiques de Saumur. Voici un nouveau venu dans le monde de l’édition qui va compléter cette collection avec originalité. Cet ouvrage que l’on trouvera bientôt en vente dans les musées de la ville et à l’office de tourisme possède la particularité de montrer la ville en trois dimensions.. Il suffit pour cela de chausser une paire de lunettes rouge/cyan sans lesquelles ces images perdent tout leur intérêt.
Une sélection de 122 photos de Saumur en 3D
On doit ce travail d’édition à Pierre Saint Ellier, installé à Saumur depuis 1992. Cet ingénieur retraité est un passionné de photographie. Il a surtout gardé un souvenir ému des cartes stéréoscopiques que lui montrait sa maman quand il était enfant. « J’étais fasciné par ces vues en relief. Avec l’arrivée du numérique, je me suis intéressé de très près à la technologie anaglyphe » explique cet amateur éclairé.
Pour faire simple, chaque photo en 3D est à la base composée de deux clichés, traités avec un logiciel spécial. Avec les lunettes rouge/cyan, le cerveau reconstitue le relief, ce qui donne lieu à des effets de profondeur parfois bluffants. Le photographe a appris, avec l’expérience, à dompter cette notion de relief lors de la double prise de vues, mais aussi à maîtriser la lumière au profit du sujet.
Pour aller au bout de sa démarche, Pierre Saint Ellier a fait preuve d’ingéniosité à plus d’un titre. Armé de deux appareils photo synchronisés avec un déclencheur multiple, il a sillonné la ville depuis presque dix ans et rapporté des milliers de photographie. C’est une sélection de 122 d’entre elles qui est donnée à voir dans son livre « Saumur en 3D, la ville aux multiples visages en relief».
Rares sont les ouvrages de ce type publiés en France, en raison notamment de la complexité de la technique. « Cela fait deux ans que je travaille sur ce livre. Il m’a fallu reprendre chacune des photos pour en revoir la colorimétrie, qui n’est pas la même pour un tirage chez l’imprimeur que pour un écran ».
Fourni avec une paire de lunettes, le livre est à la hauteur des espérances de son auteur. Tiré à 500 exemplaires pour le moment, cet ouvrage cible en premier lieu un public de passage mais aussi les amoureux du patrimoine local.Yvan Georget
Lunettes cyan et rouge indispensables pour découvrir les secrets du livre.
(Photographie courrierdelouest.fr)
Je vous remercie. Le livre est très beau, merci à votre équipe.
J’espère qu’il plaira aussi à l’éditrice qui est encore au Japon et qui ne le découvrira que plus tard.