Chédigny – La vie en roses

Chédigny, La vie en roses, Sonia Lesot & Georges Lévêque, Noctuelles Editions, intérieur livre ouvert

Cet ouvrage est la 3ème édition d’un livre publié en novembre 2013 par Sonia Lesot et Noctuelles Editions, et déjà venu à 4500 exemplaires. C’est George Lévêque, le photographe des jardins et des fleurs, qui a eu l’idée d’un beau livre sur les roses de Chédigny.

Chédigny – La vie en roses est une véritable œuvre collective qui a réunit en plus des auteurs la Mairie de Chédigny,  l’Association Roses de Chédigny et le Guide floral du Festival des roses.

 

Osez « La vie en roses » !

Le temps d’une pause.
Ouvrez ! et découvrez Chédigny ;
Un village devenu jardin.
Un paradis, on vous le dit,
où les roses se sont emparées
des rues pour les mieux parer.
La saga de cette métamorphose est sa genèse
vous sont contés en prose
dans un écrin littéraire consacré aux roses…
Un itinéraire tout en photographies s’y appose
Et dessine les portrait de ces belles
Qui, pour l’occasion, ont pris la pose.

Quatrième de couverture

Petite Beauce secrète

Petite Beauce secrète, Thierry Lebert et Laurent Bossay, intérieur livre ouvert

C’est en suivant une colonie de hiboux des marais que Laurent Bossay et Thierry Lebert ont décidé d’aller plus loin pousser cette porte entre-ouverte de la Petite Beauce pour y découvrir la faune et la fore qui s’y abritent. Les deux photographes ont décidé d’en témoigner avec une exposition qui sillonne la France, la Belgique et la Suisse dans les plus grands festivals de photo de nature. Ce beau livre en témoigne, il donne la parole aux images et à quelques uns de ses admirateurs qui en y couchant leurs mots traduisent l’émotion sauvage que cette plaine agricole peut procurer, elle aussi.

Nous sommes deux enfants du nord de ce Loir-et-Cher, au-delà de la frontière Loire… Deux gamins de cette Petite Beauce, qui sans n’avoir jamais fait rêver les « fous de nature », cache pourtant tant de secrets !!…
Nous la parcourons depuis des années ; nous savons repérer le nid l’Oedicnème criard, que l’on nomme encore « Courlis », le chant de la perdrix ou le piquet du busard cendré. des heures à l’affût à être patients, très patients…
Nous la partageons depuis plus de 15 ans au sein de l’Association de Chasse Photographique en région Centre (ACPC). …
Thierry Lebert et Laurent Bossay

 

Bora Bora, la première née

Bora Bora, la première née, Alain Lepresle, intérieur livre ouvert
Bora Bora, la première née, apporte un témoignage unique sur une île mythique au sujet de laquelle finalement le monde sait bien peu de choses. Encore protégée d’un occident qui perd peu à peu tous les liens tendus par le temps entre les civilisations, Bora Bora est loin de n’être que la carte postale née dans un imaginaire qui n’y voit qu’une palette de peintre où se mélangent les couleurs pastels. Aide à un « tourisme culturel affiné », ce livre permettra au lecteur de s’immerger dans l’histoire et la culture, qu’il ne pouvait imaginer si riches et si complexes, qui se cachent au fond des vallées que l’on ne visite jamais, au détour des collines que même les habitants de Bora Bora, la perle du Pacifique, ne voient plus depuis longtemps.

A l’éclairage de nos rencontres, discussions sérieuses ou ponctuées de fous rires, et débats de toute nature, Alain a su écouter avec attention, questionner avec curiosité et retransmettre avec passion tout ce qui fait de ce livre sur Bora Bora un ouvrage unique qui aidera le lecteur à mieux comprendre ce qui a fait de Bora Bora la « Perle du Pacifique ».
Au crépuscule de ma vie, il m’arrive de m’endormir en pensant à la déesse Hina… que vous allez rencontrer pour ne plus jamais l’oublier en lisant « Bora Bora, la première née ».
Irma Prince, extrait de la préface

 

Alain Lepresle est né à Nevers avec des yeux trop grands pour se satisfaire des campagnes nivernaises dont il est originaire. Successivement enseignant, puis attaché au Ministère des Affaires Étrangères, chef d’entreprises et journaliste, il a parcouru sa vie comme il a parcouru le monde, «  à grandes enjambées, par peur de ne pas avoir le temps de tout voir et de tout faire ».
Quarante années de voyages et d’aventures lui ont permis de découvrir de multiples cultures du monde, de coucher sur ses carnets les mots qui donnent un sens et une réalité à ses émotions, de s’enrichir au contact de rencontres parfois improbables mais toujours fascinantes, du plus profond de la jungle de Bornéo, dans les hautes vallées Népalaises, dans le Mpumalanga Sud-Africain, et dans cet ouvrage plongeant dans les eaux émeraudes de Bora Bora en Polynésie française.

Solitudes, un beau livre d’art exemplaire

La réalisation de Solitudes, le livre de photographies en noir & blanc de Dorian François, est un très bel exemple de livre d’art à la réalisation originale et sur-mesure : un  coffret sérigraphié contenant cinq livres sous forme de dépliants Leporello imprimés en Offset HR-UV et en bichromie.

Si cette superbe réalisation est atypique dans sa forme, elle sert surtout à merveille le fond désiré par Dorian François. Le coffret de 5 livres répond en toute logique au séquençage en 5 chapitres , et la séparation progressive du journal en voyage intérieur et extérieur est fidèlement reproduite par le choix du Leporello.

Cette adéquation entre forme et fond et cette cohérence font de Solitudes de Dorian François un beau livre d’art exemplaire.

 

 

Le coffret

Solitudes, Dorian François, Coffret étuiCoffret sérigraphié en noir + 1 Pantone sur les plats 1 et dos

 

Solitudes, Dorian François, coffret sérigraphiéÉtui brut en carton de création « Les Naturals » couleur sable

Solitudes, Dorian François, Coffret étui + 5 livres dépliantsLe coffret est ajusté pour contenir les 5 livres : angle biseauté pour sortir les leporello

Solitudes, Dorian François, coffret, vue de la trancheCoffret Solitudes, vue de la tranche

 

 

Les leporellos

 

Vue sur les 5 livres du Coffret Solitudes de Dorian François

5 livres Leporello dépliants, chacun représentant un chapitre du récit « Solitudes »

Leporello, Solitudes, Dorian FrançoisChaque Leporello est composé de volets collés entre eux puis pliés en accordéon

Solitudes, Dorian François, livres dépliants LeporelloLes photographies sont imprimées en bichromie au recto, et le récit au verso en noir seul

Solitudes, Dorian François, vue sur le LeporelloLes premières et dernières pages de chaque dépliant sont collées sur les premières et dernières de couverture

Leporello, Solitudes, Dorian François
L’accordéon déplié permet de découvrir les images panoramiques en séquences toute en gardant une lecture simple

Une gentillesse et une attention remarquables

Je tiens à vous remercier de tout. J’ai été reçue à Escourbiac avec une gentillesse et une attention remarquables. J’ai connu Madame Escourbiac avec qui j’ai longuement bavardé. C’est une personne charmante et accueillante et j’ai été très contente de faire sa connaissance.
Tout s’est très bien passé et donc très rapidement; vers 13h30 j’étais sur la route de retour.
Merci pour tout et à bientôt.

Voies Off :: Arles 2017 avec Escourbiac

Escourbiac l’imprimeur ne manquerait pour rien au monde la 22ème édition du Festival Voies Off :: Arles 2017 ! Nous serons présents tous les après-midi, du 3 au 8 juillet, dans la cour de l’archevêché afin d’y présenter nos dernières réalisations.

Partenaire du Festival depuis 2015, Escourbiac l’imprimeur apprécie sa richesse et son dynamisme. Cette année, Voies Off :: Arles nous offre 141 expositions et initiatives photographiques indépendantes en marges des Rencontres Photographiques.

La semaine d’ouverture offrira les évènements désormais habituels du Festival : Nuits de projection pendant lesquelles vous pourrez découvrir les photographes sélectionnés du Prix Voies Off 2017,  Lectures de Portfolio, Matinées Pro composées de rencontres et conférences sur les métiers de l’image, Workshops, et les Afters de l’Archevêché.

N’hésitez pas à venir nous rencontrer tous les après-midi de la semaine dans la cour de l’Archevêché.

 

Myxomatoses

Myxomatoses, Jean Reverdy / Catherine Redelsperger / Natacha Sibelles, des filles normales, intérieur
Avec Myxomatoses, deuxième livre papier édité par DES FILLES NORMALES, Natacha Sibellas a composé un livre dont la simplicité dit sa complexité questionnante. Les textes de Catherine Redelsperger, micro essais et éco-fictions répondent aux dessins au scalpel de Jean Reverdy. Myxomatoses, au pluriel, pour dire les épidémies, les contagions, les catastrophes, de toutes catégories. Aussi une allégorie sur la vie et la mort, la prolifération et la régulation, et l’équilibre.

 

Le négatif fait partie du tableau. Il nous a faits aussi, humains, lapins, bactéries.
Vie et mort neutralisées en un même objet enfin fiable, enfin solide, qui contre le délitement du réel assurera la solidité intérieure. Parce qu’il nous faudra trouver le meilleur équilibre possible dans les compromis, l’art de demain sera celui de la composition.
Vincent Mignerot, extrait de la postface

 

Les dessins de Jean Reverdy présentés dans ce livre appartiennent à un ensemble appelé Exode. Ils sont de date récente et font partie d’un travail commencé dans les années 80, parallèlement à des recherches picturales plus abstraites.
Les écrits de Catherine Redelsperger habitent les steppes de l’imaginaire et l’abîme du réel, à la croisée de l’anticipation, de la poésie et de l’essai en résonance aux œuvres des peintres, photographes et performeurs.
Photographe, auteur d’œuvres multimédia, designer graphique, Natacha Sibellas privilégie la photographie en noir et blanc. Elle vit dans plusieurs sphères sans jamais les séparer.

Accès réservé

Accès Réservé, Céline Clanet, Ardi-Photographies, intérieur

Ardi-Photographie, soutenue par la DRAC de Basse-Normandie, a initié en 2012 une campagne photographique confiée à Céline Clanet sur les préfectures des départements du Calvados (Caen), de la Manche (Saint-Lô) et de l’Orne (Alençon). Ce projet singulier de découverte des espaces privatifs des préfectures permet d’exposer sous un nouvel angle les liens étroits entretenus par le pouvoir et la photographie.

 

Mémoire et point de vue artistique utilisent ces véhicules du savoir pour irriguer la pensée et plus particulièrement l’histoire des représentations. Dans le cas précis, il s’agit d’une immersion dans des espaces désignés de l’architecture des préfectures des lieux où architecture, design et portrait photographique participent à l’élaboration de la représentation que le pouvoir souhaite transmettre. Accès Réservé s’introduit dans ce parcours. Les prises de vues captent formes, couleurs et valeurs dans une mise en abîme du quotidien des symboles de la république
Gilles Boussard, Président de l’ARDI-Photographies

 

L’ARDI-photographies – Association Régionale pour la Diffusion de l’Image – est une association loi 1901, fondée en 1964 à Caen. Elle œuvre pour la préservation et la mise en valeur du patrimoine photographique normand et soutient des photographes contemporains afin de tisser des liens entre patrimoine et création.

Céline Clanet est née en 1977 et a grandi dans les Alpes. Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles, elle travaille depuis 2005 sur l’Arctique continental européen – plus connue sous le nom de Laponie – son territoire et ses populations. Sa série Máze a remportée plusieurs prix en Europe et aux Etats-Unis, dont le Critical Mass Book Award (USA). Elle a publié quatre livres : Les Chapieux, géographie d’un secret (Actes Sud, France, 2014), Des Barrages et de Hommes en Savoie (Actes Sud, France, 2011), Máze (Photolucida, USA, 2010) et Un Mince Vernis de Réalité (Filigranes, France, 2005).

Rachel Lumsden – Return of the Huntress

Catalogue Rachel Lumsden, Return ot the Huntress, 2014-2017, intérieur

Le catalogue Return of the Huntress 2014-2017 paraît à l’occasion des expositions Rachel Lumsden à la Fondation Fernet-Branca, Saint-Louis, France (du 19 mars au 21 mai 2017), au Centre d’Art Pasquart Bienne, Suisse (du 2 juillet au 3 septembre 2017) et au Kunst (Zeug) Haus Rapperswil-Jona, Suisse (de novembre 2017 à février 2018). Cette exposition personnelle, qui donne à voir le travail de ces dix dernières années de Rachel Lumsden, constitue la présentation la plus complète de ses peintures à ce jour.

 

Les peintures de Rachel Lumsden semblent directement liées au pouvoir des rêves et à leurs promesses intangibles. Avec leurs figures fantomatiques, leurs spectres de couleurs d’une grande richesse, leurs motifs turbulents et leurs intérieurs claustrophobes, ses peintures influent sur l’esprit avec une intensité semblable aux rêves inoubliables, offrant tout un réseau de connexions émotionnelles, dont la signification générale reste néanmoins cruellement inaccessible.
Charlotte Mullins – extrait de « Rachel Lumsden : Fission de l’atome »

 

Rachel Lumsden, artiste peintre suisse d’origine britannique, née à Newcastle en 1968, vit et travaille depuis 2002 en Suisse à Saint-Gall. Elle réalise des œuvres picturales de grand format, au minimum toujours aussi grandes qu’elle même.  Sa peinture se situe entre abstraction et figuration, matériel et imaginaire, souvent dans l’illusion. En plus de la peinture, Rachel Lumsden utilise également la photo et la vidéo.

 

 

Habiter la cour, actionnage n°11

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, intérieur

Habiter la cour, actionnage n°11 est le témoignage du partenariat entre Lizières, centre de cultures et de ressources, et le collège Jean Racine de Château-Thierry, dans le cadre d’un atelier artistique soutenu par le rectorat de l’académie d’Amiens, le conseil départemental de l’Aisne et la DRAC des Hauts de France. Habiter la cour est une œuvre proposée par les élèves, transformant cet espace du présent en un lieu d’agissement et de création : la cour est devenue à la fois support et matériau de l’œuvre. Ce beau livre propose de rendre compte de ce travail par des photos et des extraits d’entretien entre divers acteurs du projet : Ramuntcho Matta, artiste, Martine Schwebel, présidente des Amis de Lizières, les élèves de l’atelier artistique et Edouard Smith, enseignant en arts plastiques.

 

Le collège et la cour deviennent deux espaces publics auxquels les élèves sont confrontés. Quelles sont les relations qu’entretiennent les élèves à la cour et à l’autre : la cour est-elle habitée ? Habiter, ce n’est pas posséder l’endroit mais avant tout « se tenir », c’est une manière d’être. Et ici, c’est être avec les autres. Quelles sont ces habitudes liées à cet espace singulier du collège, où tout le monde se rassemble ? Comment un travail artistique, à l’issue des réflexions des élèves, pourra proposer de penser ce lieu autrement ?
Extrait du quatrième de couverture.


Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, couverture ouverteBrochure collée en onglet en plat III de couverture, à la Suisse

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, couvertureCouverture visible sous la sur-couverture

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, intérieur