Beaux livres

Titre : "Gange sacré"

Auteur : Christian Boisson

ISBN : 979-10-699-8625-1

Éditeur : autoédition

Photographies : Christian Boisson

Textes : Françoise Noirant et Christian Boisson

Mise en page : Denis Gizard

Achevé d'imprimer en février 2022

Nombre de pages : 192

Façonnage : format 30 x 24 cm à l'italienne, reliure cartonnée, dos droit, cahiers cousus, tranchefile tête et pied jaune, couverture contrecollée papier, rembordée sur carton 30/10, embossage d'une cuvette pour collage étiquette, marquage à chaud, intérieur 24 cahiers de 8 pages, gardes vierges rapportées

Impression :
- Couverture :
marquage à chaud Luxor 398 plat et dos
- Étiquette :  quadri numérique, pelliculage mat anti-rayure
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
marquée sur Wibalin Finelinen Mandarin 525 Orange
- Gardes rapportées : Keaycolour Indian Yellow 120 g
- Intérieur : imprimé sur Gardapat 13 Kiara 150 g

Gange sacré, beau livre photo de Christian Boisson

Gange sacré, Christian Boisson, autoédition, intérieur Gange sacré, Christian Boisson, autoédition, intérieur

Gange sacré, beau livre photo de Christian Boisson. Auteur-photographe et psychologue-psychothérapeute, Christian Boisson conduit depuis 2016 un travail photographique dans les lieux sacrés indiens afin de saisir dans l’instant l’intensité de la foi et capturer l’émotion collective ou individuelle. Avec  ce beau livre photo, l’auteur nous amène sur les bords du Gange à Bénares – Varanasi, Haridwar, puis à Allahabad – Prayagraj, lieu de la Kumbh Mela 2019, le plus grand pèlerinage du monde. Le beau livre photo autoédité est préfacé par Françoise Noirant. L’ouvrage est une reliure cartonnée, dos droit, cahiers cousus et tranchefile jaune, au format à l’italienne de 192 pages imprimées en offset HR-UV, trame fine 240, en quadrichromie sur papier GardaPat 13 Kiara 150 g/m² de Cartiere del Garda / Groupe Lecta. Titres et auteurs sont marqués à chaud Luxor sur le plat 1 et le dos de la couverture papier en Wibalin Linelinen Mandarin orange. Une photo imprimée en numérique et pelliculée mat anti-rayures est collée dans une cuvette embossée sur le plat 1 de la couverture.

 

Envahi de sensations, bousculé, Christian Boisson se soumet à le force de l’instant et des rencontres, entre fièvre et recueillement. La difficulté pour le photographe consiste alors à placer « sur la même ligne de mire, la tête, l’œil et le cœur » comme l’a écrit Cartier-Bresson dans une remarque désormais célèbre. Alors la réalité devient symbole et l’image parle d’autre chose que d’elle-même comme dans ce dernier cliché : des pèlerins s’éloignent en cortège sur l’un des ponts flottants qui balafrent le fleuve dans une lumière incertaine. Sur la clarté du ciel se détache une envolée d’oiseaux. Quelque chose se dit qu’on ne voit pas : la certitude d’un effacement prochain qui ramène à soi.

Françoise Noirant, extrait de la préface