Beaux livres

Titre : "Périphérique 50"

Auteur : Club Photo Les Photographes des 3 îles

ISBN : 979-10-699-4800-6

Photographies : Hervé Maraud, Jacques Boré, Maryline Lemerle, David Rousseau, Robert Ganne, Jean-Paul Verjus, Jean-Louis Maillard, Jacques Etien, Michel Duvigneau, Sylvie Colin, Michael Sumyuen, Karl Grelet, Roland Binder, Marie-Claude Nicolas-Jonchère, Catherine Le Roy, Jean-Pierre Bizet, Janic Sorin, Danielle Chauvin, Daniel Boudart, Philippe Arrouet, Marie Alexandre, Roger Coutin, Stany Plouzeau

Nombre de pages : 60

Façonnage : format carré 22 x 22 cm, habillage de couverture rembordé sur carton 24/10, marquage à chaud, intérieur 5 cahiers de 12 pages, gardes vierges rapportées 2 x 4 pages, reliure cartonnée, cahiers cousus, fil blanc, dos droit repincé, tranchefile tête et pied rouge

Impression :
- Couverture :
marquage à chaud 2 couleurs (Colorit 963 rouge foncé + blanc) sur Plat 1, Plat4 et dos
- Intérieur : quadri recto/verso + trame 240

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
marquée sur Wibalin Natural 570 Black
- Gardes rapportées : Sirio Color Pietra 170 g
- Intérieur : imprimé sur Symbol Tatami White 170 g

Périphérique 50 par Les photographes des trois îles

Périphérique 50, Les Photographes des 3 Îles, intérieur

Le beau livre Périphérique 50 illustre les cinquante ans du Club photo Les photographes des trois îles de Saint-Sébastien-sur-Loire. A explorer le monde, les photographes des 3 îles tentent de révéler les petits riens, les choses anodines presque invisibles. Cette attention portée au périmètre élargie de Loire à l’Océan Atlantique  est illustré par les 42 photographies des 23 membres du club. Les 60 pages du livre sont imprimées en quadrichromie en offset HR-UV sur papier Symbol Tatami White 170 g/m² de Fedrigoni, les gardes rapportées étant en Sirio Color Pietra du même fabriquant. Le titre et le nom du collectif sont marqués à chaud en 2 coloris rouge et blanc sur le papier cartonné noir teinté dans la masse Wibalin Natural Black de Winter & Company.

 

Attirés par la lumière puis l’ombre,
les yeux se perdent à l’horizon.
Au loin, la vieille usine résiste aux saisons.
Ses murs d’acier stoppent net la course du regard.
Le vent s’engouffre dans ses entrailles.
Les cheminées crachent.
Le ciel résiste et les étoiles scintillent.
Ce matin, s’agite la ville.
Les cafés se vident. Les chariots s’activent.
Des gens glissent de rues en boulevards.
Les escaliers rythment leur marche.
L’oiseau se faufile.
Bientôt la mer.
Et le sable qui se bat pour garder sa place…