Votre excellente gestion

Les quelques retours que j’ai eu d’Herdia pour le moment sont très satisfaisants et pour ma part, je suis entièrement satisfait et reconnaissant de votre excellente gestion et du suivi de projet

Merci pour la qualité du travail fourni

Bonjour,

Tout d’abord merci pour la qualité du travail fourni, le rendu final des programme était particulièrement satisfaisant.

Une excellente journée à vous,

La qualité de l’accompagnement

Bonsoir Olivier
J’ai bien reçu mon livre et je suis plus que ravi du résultat.
Je tenais à vous remercier ainsi que vos collaborateurs pour toute la qualité de l’accompagnement dans le déroulement de ce projet .
Vous avez toujours été disponible pour répondre à chacune de nos questions , et ce de l’avant-projet jusqu’au produit fini livré à domicile à la date prévue.
Merci pour vos conseils judicieux .
Il m’a été très agréable de travailler avec vous et de me sentir soutenu dans l’élaboration de cet ouvrage qui retrace une partie de ma vie de sculpteur.
Au plaisir de retravailler avec vous.
Bien cordialement
Christian Delacoux

Era Angola

Era Angola, Jean Charles Gutner, intérieur livre ouvert

Le photographe français Jean-Charles Gutner a couvert le conflit angolais pendant 3 ans pour l’Agence France Presse (AFP) et Associated Press (AP). Ce livre propose un recueil de quelques photographies réalisées pendant ses années de reportage dans toutes les provinces angolaises ou la guerre civile déchirait ce pays. La plupart des photographies présentées dans Era Angola ont fait l’objet de publication importante dans la presse internationale. Ses archives sont actuellement diffusées par l’agence Sipa press.

Era Angola a été financé grâce à une campagne de crowdfunding sur KissKissBankBank.

 

Exercice difficile que celui de la mémoire, douloureux quelquefois. Voilà près de 20 ans déjà que ces photographies, aujourd’hui publiées dans ce livre, ont été réalisées en Angola, pays d’Afrique australe, terre d’extension de la guerre froide depuis son indépendance en 1974.   .. ./… L’Angola vit, depuis la fin du conflit, une période de paix et de prospérité. Je souhaite que celle-ci demeure définitivement dans ce pays, loin des appétits voraces des puissances politiques et financières étrangères. Le gouvernement a heureusement gagné la guerre, je souhaite sincèrement qu’il ne perde pas la paix.
La guerre ne grandit pas les hommes, elle les détruit et bien présomptueux celui qui en tire gloire ou profit, car l’écho des morts résonne toujours dans le balancier de la mémoire.
Mungwe, Jean-Charles Gutner, 2016 – extrait de la préface.

Autour du monde en Porsche entre père et fils

Autour du monde en Porsche entre père et fils, Philippe Delaporte, éditions Le Monde pour Passager, intérieur livre ouvert

Quel plus beau cadeau un père peut offrir à ses fils que de les emmener à la découverte du monde dans une vieille Porsche 928 ? Un véhicule de voyage original pour renforcer les liens familiaux, c’est le choix qu’on fait Philippe et ses enfants. Après avoir rejoint l’Iran en 2011 avec son cadet Baudouin, Philippe prépare en 2016 un trajet Paris-Tokyo avec son ainé Thibault. Un plan bouleversé par Baudouin qui demande à repartir pour un tour du monde. L’héritage des enfants de Philippe, c’est l’amour du voyage et de l’autre. Le secret pour y parvenir est d’une merveilleuse simplicité : passer du temps ensemble.

A l’obtention de mon baccalauréat, mes parents m’offrirent une 4L. Cette voiture me permit de réaliser plusieurs grands voyages dont le souvenir guida ma vie personnelle et professionnelle et dont le récit fascina mes enfants dès leur plus jeune âge. Partager un jour de telles aventures avec mes fils était pour moi un rêve absolu. Jusqu’au jour où ils me proposèrent un périple commun. Impossible de refuser ! Partir, vivre l’aventure d’une vie ensemble, faire le tour de la Terre en voiture… Et plus encore, car il s’agissait de voyager avec notre Porsche de collection.
…/…
Embarquer mes fils, que j’aime plus que tout au monde, dans un tel voyage était une énorme responsabilité ; mais j’ai partagé des moments exceptionnels à leurs côtés. Nous avons vécu des moments intenses de découvertes, de rencontres, parfois d’anxiété, mais jamais de doute. Passés les premiers jours, où il nous a fallu prendre le tempo, nous avons vécu côte à côte sans qu’il y ait le moindre désaccord, en parfaite harmonie et simplicité. Au terme de ce voyage, j’ai réalisé que nous venions de vivre quelque chose d’unique et que cette tranche de vie dépassait mes rêves, nos rêves, pour devenir notre histoire. Je suis très fier que mes fils se soient donné les moyens de réussir, ensemble, une telle épopée.
Philippe Delaporte, extrait du livre.

 

 

Hôtel, nous sommes de passage

Hôtel, nous sommes de passage, Tomas Smith, intérieur livre ouvert

Tomas Smith réalise son premier ouvrage, Hôtel, nous sommes de passage, comme une forme d’introspection, entre journal intime et carnet de bord. C’est son témoignage. Il nous révèle des fragments de mémoires, teintés de sa double culture, ses mouvements entre le Chili et la France. Ce n’est pas l’aventure, ce n’est pas épique, c’est un retour modeste à ses lieux familiers, le regard émancipé à travers son viseur.

Il nous embarque, nous tire de son appartement bordelais embrumé de nicotine vers l’écume du Pacifique. Il nous ramène d’une salle de bain humide de la huitième région vers le fond du Périgord où une 4L rouillée finit sa course. Ce sont ses aller-retours entre deux continents qui rythment sa démarche, ce sont Chloé et Javier, ses complices en chemin, puis il y a Alice ici et Antonia là-bas. Tomas saisit des visages amis pour confier son histoire, l’étrange et l’ordinaire d’un semblant de quotidien, gueules de bois dominicales et traversées d’Atacama, le mystère des corps nus qui errent dans la nuit sous une menace abstraite et latente. Il nous balade.

Photographe franco-chilien, diplômé d’un Master Recherche en Arts-Plastiques à l’Université Bordeaux Montaigne, Tomas Smith expose depuis 2010 dans des expositions collectives de la région bordelaise. La dernière est Je vous souhaite d’être follement aimé, Festival Ciné Marges, Bordeaux.

Les métiers de l’aviation – Histoire & patrimoine

Les métiers de l'aviation, histoire & patrimoine, Nouvelles éditions loubatières, intérieur livre ouvert

Les métiers de l’aviation, histoire & patrimoine, présente en trois grand temps chronologiques, le temps des pionniers et des exploits individuels (1890-1945), le temps de l’industrialisation et de la massification (1945-1980), enfin, le temps de l’informatisation et de la démocratisation mondiale (1980 à nos jours), l’histoire de l’univers professionnel de l’aviation, jeune encore, et générateur de progrès technologiques remarquables. A travers ces métiers, avec les hommes et les femmes qui les ont créés et fait évoluer, ce livre est une façon inédite de découvrir l’histoire de l’aviation.

Ce livre est le quatrième opus de la série « Histoire et patrimoine des métiers » des Nouvelle Éditions Loubatières, après les métiers du vin, du cirque et de la météo. Publié avec le concours de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, il est écrit à quatre mains par Jean-Marc Olivier, professeur d’histoire contemporaine à l’Université Toulouse-Jean-Jaurès, Marie-Madeleine Rotelli et Sophie Rousseau, toutes les deux titulaire d’un Master 2 en Histoires et Civilisations modernes et contemporaines portant sur l’évolution du travail dans l’industrie aéronautique toulousaine entre 1960 et 1980, et Maurice Zytnicki, ingénieur en systèmes d’information, auteur d’articles sur l’histoire des techniques.  Jean-Marc Olivier concentre depuis 10 ans ses recherches sur l’histoire de l’aéronautique dans le cadre du Laboratoire Framespa (CNRS) et du labex SMS (Structuration des Mondes Sociaux). Il encadre de nombreuses thèses sur ce sujet et vient de créer un Master recherche intitulé « Histoire et patrimoine de l’aéronautique et de l’espace« . Il dirige la revue Nacelles. Passé et présent de l’aéronautique et du spatial. Maurice Zytnicki contribue à la revue Nacelles, et a organisé des journées d’études sur la CAO et les transformations des processus de conception industrielle.

Bijou(x) de Peau(x) 2017

Bijou(x) de Peau(x) 2017, catalogue d'exposition, intérieur livre ouvertL’exposition Bijou(x) de Peau(x) 2017  est le résultat d’un travail collectif et inter-sections autour du travail sur le cuir, identité de la région de Graulhet. Le projet : concevoir des parures ornementales dont le cuir constitue la matière d’œuvre privilégie. Onze équipes pluridisciplinaires ont été constituées, mêlant élèves-designers et étudiants-artisans d’art des formations « Art du bijou et du joyau » du lycée Clément de Pémille, Graulhet et de « Sciences et technologies du Design » du Lycée des Arènes, Toulouse.

Dans un deuxième temps, deux autres formations des mêmes établissements se sont à leur tour impliqués dans le projet : le BTS « Design graphique » pour le lycée des Arènes et le Baccalauréat professionnel « Photographie » pour le  lycée Clément de Pémille ; les apprentis photographes et étudiants en graphisme prenant en charge conjointement la communication visuelle de l’évènement en concevant affiche, flyer et catalogue.

L’exposition sera présentée tout l’état 2017, jusqu’au 31 août, au Cinéma Vertigo à Graulhet.

 

Scène Nationale d’Albi : catalogue saison 2017-2018

Scène Nationale d'Albi, Catalogue saison 2017-2018, intérieur livre ouvert

Catalogue de la Saison 2017-2018 de la Scène Nationale d’Albi, ce beau petit livre de 144 pages présente les spectacles de musique, théâtre et danse qui seront organisés au Grand Théâtre d’Albi, et dans les autres lieux de la scène albigeoise, de septembre 2017 à juin 2018.

 

Née en novembre 1983, le Centre Culturel de l’Albigeois devient « Scène Nationale » en 1992. Plus de 20 ans après, c’est sous le nom de Scène Nationale d’Albi que l’association tarnaise, fidèle à ses responsabilités artistiques, professionnelles et publiques, prolonge son travail de démocratisation culturelle désormais articulé autour de son formidable outil, le Grand Théâtre et de ses autres lieux, le Théâtre des Lices et l’Athanor. Parmi ses particularités, la SNA fait vivre un cinéma d’art et essai labellisé par le Centre National de la Cinématographie.

Pipi

Pipi, Laurent Salles, Studio Périphérique, intérieur livre ouvert

Édition artistique imprimé à 200 exemplaires numérotés, Pipi regroupe la collection photographique d’instants volés d’une jeune femme, lors de ses pauses pipi à travers ses différents voyages. Dernier né du Studio Périphérique, Pipi aurait pu constituer un attentat à la pudeur. Mais cette collection d’intimités volées et dévoilées manie le jeu des distances avec adresse : celle de ceux qui, à n’importe quel moment, sont capables de transcender l’immédiat d’une réalité ordinaire en un point de vue extraordinaire.

Créé par le fondateur du studio Périphérique, Laurent Salles, Pipi est un objet à part entière, soigneusement réalisé.L es photos sont volontairement classiques, sans effet ni retouche pour garder un côté réaliste. Il est important que le jeu de cache-cache qu’il a pu y avoir avec le sujet soit perçu. Il a d’ailleurs été parfois difficile de surprendre et de capturer les scènes, d’où l’utilisation alternée d’un reflex numérique et d’un iPhone, plus facilement dissimulable.

A l’origine fondé par Laurent Salles et José Lamali, studio Périphérique est un laboratoire d’idées parisien qui éclaire le réel à la lueur de l’irrationnel et du décalé. Les évidences du quotidien, projetées dans un espace à mi-chemin entre l’ordinaire et l’extraordinaire par un geste poétique nous questionnent alors sur notre propre regard et nos illusion. Périphérique, articulé aujourd’hui par Laurent Salles, s’intéresse particulièrement aux outils et dispositifs numériques et les détournent de leur fonctionnalité première. La plupart des projets du studio peuvent exister sous deux formes numériques, puis ensuite se cristalliser à travers l’objet d’édition.