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Le saviez-vous ? Trame aléatoire. Oui ? Non ?

En deux mots 

Comme son nom l’indique, la trame aléatoire répartit de façon aléatoire les différents points d’impression (cyan, magenta, jaune et noir). Et ce, avec une très grande finesse. Oubliée, la petite rosace de la trame traditionnelle apparaissant lorsqu’on regarde de très près un document imprimé.

 

Dès les années 90 

L’utilisation de la trame aléatoire n’est pas nouvelle. Elle date des années 90. Et s’est démocratisée avec l’apparition des premiers CTP (Computer To Plate) au début des années 2000, date de nos premiers essais.

 

Un bémol 

Très vite nous nous sommes rendu compte des limites de cette technologie pour la reproduction photographique. La trame aléatoire n’est -à notre avis- pas adaptée à tous les projets. Même si elle apporte une valeur ajoutée à certains types de reproductions (aquarelles, images à faible contraste ou faible netteté)

 

Finesse, oui mais 

Si la trame aléatoire permet une très grande finesse d’impression, la répartition spécifique des couleurs quadri fait très légèrement perdre de la netteté et du piqué à l’image reproduite.

 

Des surcoûts à prévoir

Elle rend particulièrement instable la chaine graphique d’impression. Et nécessite une calibration particulière à chaque utilisation. Ce qui induit des surcoûts non négligeables.

 

La solution : La Trame 240

Plutôt que de préconiser cette technique pour imprimer des photos ou des documents de haute qualité, nous avons opté pour la trame 240, bien plus adaptée pour reproduire les plus infimes détails d’une image.

Un choix conforté par le jury du Cadrat d’Or, qui à trois reprises nous a récompensé pour la qualité des travaux présentés à son célèbre concours. Tous imprimés en trame 240.

 

Nos convictions dictant nos choix, avant toute considération commerciale, nous assumons pleinement ce parti pris.

Bientôt un autre « Le saviez-vous »