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Papier couché ou non couché ? La grande question… 1/2

Dans cette première partie, nous traiterons le sujet du papier couché.

 

Le papier couché en deux mots

On dit d’un papier qu’il est couché lorsque ses faces sont recouvertes d’une ou plusieurs couches à base de kaolin, rendant ses surfaces plus lisses.

 

Couché mais varié

Un papier couché peut être mat, satiné ou brillant. Son touché est plus doux, mais plus froid, sa blancheur plus franche, son imprimabilité optimisée grâce aux pigments des encres qui restent davantage en surface.

 

Aimé des encres

Blancheur, opacité, touché, bouffant, lissé, grain, grammage, « main »,… de nombreux critères distinguent les papiers couchés existants. Mais dans tous les cas, plus la partie imprimée est dense, plus l’encre brille et le contraste élevé.

 

Originalité, pourquoi pas ?

Les auteurs, éditeurs, annonceurs, recherchent aujourd’hui des papiers plus singuliers, différenciants : papiers à matières, à grains, avec un touché moins lisse, une opacité plus importante.

 

Qualité d’abord

Chez Escourbiac l’Imprimeur, le papier couché « maison » proposé par défaut est un couché triple couche aux qualités d’imprimabilité testées et approuvées par nos équipes.

Son prix comme son approvisionnement sont négociés chaque année. Il répond aux besoins de nombreux clients.

 

Le conseil Escourbiac

Escourbiac l’Imprimeur dispose de deux matériauthèques, l’une à Paris, l’autre à Graulhet.

Régulièrement mises à jour, elles présentent les dernières tendances en matière de papiers et aident à faire les choix les mieux adaptés aux résultats escomptés.

Nous vous y attendons !

 

Rendez-vous très prochainement pour la deuxième partie de ce « Le saviez-vous », dans lequel nous évoquerons le sujet du papier non couché.

 

 

Nos convictions dictant nos choix avant toute considération commerciale, nous assumons pleinement nos recommandations.