Hyacinthe Ouattara

Catalogue d'art Hyacinthe Ouattara, intérieurCe catalogue d’art réalisé en impression numérique présente 17 œuvres du peintre burkinais Hyacinthe Ouattara. Vivant actuellement en France, Hyacinthe Ouattara voyage fréquemment en Afrique de l’Ouest en en Europe où il présente ses travaux – citons, Bruxelles, Berlin, Rennes, Paris, Chambéry, Baako, Accra, Lomé. Dans sa peinture, il développe un expressionnisme ancré sur des formes primitivistes, humaines, souvent fantomatiques. Ses dessins sont spontanés, gestuels, au caractère humain, et peut-être enfantin.

 

La couleur, les couleurs, Hyacinthe les voit, les portent en lui, les entend comme des musiques, des rythmes qui émanent des mouvements des foules où il immerge. Couleurs-matériaux d’objets accumulés, couleurs translucides des encres.
Il attache plus d’importance à la couleur du paraître des corps avec leurs accessoires (chaussures, vêtements) et à leurs contextes, qu’à celle des peaux des personnages rencontrés, évoqués.
La couleur noire résume les visages au cri des yeux et des bouches, les présences humaines à des silhouettes cagoulées… humanité angoissée ? de solitude ? d’anonymat ?
Mais Hyacinthe vibre d’un grand bonheur de vivre.
Lucien Humbert – extrait de la préface.

Effleurements

Effleurements, Carole Reboul, intérieur
Effleurements représente deux ans du travail en macro de Carole Reboul, deux ans sur le terrain à partir à la recherche des fleurs qu’elle aime, à marcher dans la nature, à être tapie dans l’herbe avant que le soleil ne se lève, à savourer les crépuscules en lisière de forêt. Ce livre est là pour montrer à quel point les fleurs nous sont indispendables, notamment pour cette beauté qu’elles nous apportent. Simplement, sans contrepartie.

Le beau livre photo de Carole Reboul a été édité grâce à une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank.

 

Parler aux fleurs. Se mettre à leur hauteur, en toute humilité, pour faire leur portrait. S’émerveiller d’un rai de lumière, d’un reflet, d’une délicate goutte d’eau posée sur leurs pétales. Carole Reboul, par son travail remarquable de finesse capture cette expérience éphémère pour la transmettre à l’éternité. Elle nous invite à nous arrêter dans la course des jours, pour nous baisser à notre tour sur ces petites merveilles de la nature. Elle nous rappelle le pouvoir des fleurs…
Pascale Smeesters – Extrait de la préface

Sabine Bernert et Christine Denis-Huot – Comme dans la nature

Comme dans la nature, Sabine Bernert & Christine Denis-Huot, Collection jeunesse Géniale Nature, intérieur

Comme dans la nature est le troisième livre de la collection jeunesse Géniale Nature, après Biomimétisme et Nouvelle-Zélande. C’est également la première collaboration entre Sabine Bernert et Christine Denis-Huot, toutes les deux photographes nature et animalier réputés. Ce nouvel opus de Géniale Nature vous emmène découvrir, en compagnie de Sabine, Christine, de leurs copains et des petits ambassadeurs, une Nature astucieuse et fascinante !

 

Économiser l’énergie, bien gérer ses ressources, recycler, partager, être solidaire, ne pas gaspiller : voilà des notions qui sont « à la mode » dans La Nature depuis 3,8 milliards d’années… La Vie est ingénieuse. Des vautours aux paresseux en passant par les pangolins et les colibris, sans oublier les crocodiles et les renards, ils ont tous quelque chose à nous apprendre.
Sabine et ses copains emportent petits et grands lecteurs dans une promenade ludique et passionnante à la rencontre d’une faune étonnante, astucieuse et inventive : une belle source d’inspiration pour guider les jeunes explorateurs sur le chemin de l’écocitoyenneté !
Quatrième de couverture.

Views, Phnom Penh

Views, Phnom Penh, Chantal Stoman, Rue du Bouquet, intérieurViews, Phnom Penh est le septième livre de la photographe Chantal Stoman, le premier édité chez Rue du Bouquet.  Ces photos de la capitale du Cambodge ont été réalisées pendant une résidence d’artiste de Chantal Stoman à Phnom Penh en 2016, et témoignent de la fascination que la photographe a alors éprouvée pour cette ville et ses habitants.

 

Enfermée dans cette solitude, Phnom Penh me fascinait. C’était une expérience nouvelle : malgré tous mes voyages précédents dans d’autres villes lointaines et chaotiques, Phnom Penh m’offrait un spectacle différent donné par son histoire. Pourtant la capitale cambodgienne peine à attirer les chercheurs, c’est aussi la raison de ce livre. Peu d’images sur Phnom Penh d’aujourd’hui, en comparaison aux autres villes de la région, dans cette Asie parcourue par tant de photographes. Views, c’est cette déambulation dans la ville, témoignage d’une identité. Cet ouvrage est la trace de ces moments précieux, cette plongée dans l’étrange, cette parenthèse où le temps a pris une autre forme, cette découverte enivrante.
Chantal Stoman – Extrait de l’avant-propos

D’abord photographe de mode, Chantal Stoman inscrit ensuite son travail dans une démarche plus personnelle, à la rencontre de l’humanité perdue au cœur des villes : A Woman’s Obsession sur la relation particulière entre les femmes japonaises et le luxe et la mode, Lost Highway sur les voies rapides qui traversent les grandes capitales du monde, puis sur le poids de l’histoire dans des villes mythiques comme Rome avec L’image Culte et Jerusalem, son dernier livre avant Views, Phnom Penh.

Influences

Influences, par Luc Eyriey, intérieur

La première édition de l’exposition Influences organisée par Valrhona a eu lieu à la Cité du Chocolat en 2014 à Tain l’Hermitage dans la Drôme. Ce catalogue est celui de l’exposition du travail de Luc Eyriey qui a eu lieu du 3 au 5 mars 2017 à Paris 16° à la Villa Emerige. Cette exposition poursuivra prochainement sa route à Tokyo et à New York. Luc Eyriey est le représentant de la quatrième génération de chocolatiers et pâtissiers d’une famille d’artistes. Autrefois peintre, puis conférencier, aujourd’hui créateur de personnages, il met sa créativité au service de l’École Valrhona pour animer de nombreux évènements à travers le monde.

 

L’exposition consiste à raconter à l’aide de pièces en chocolat comment du japonisme à L’impressionnisme, du manga à la bande dessinée, et de la ligne claire au montage en chocolat, on peut trouver une filiation et une façon de penser différente.
Luc Eyriey – extrait de la présentation de l’exposition.

 

Plutôt que des figures, Luc Eyriey crée des habits de vide, en connaisseur des effets du vide et du plein à l’oeuvre dans l’art japonais. Il conçoit ses formes à partir de la leçon qui a retenue des estampes ukiyo-e et des manga, à savoir que pour soutenir la subtilité du récit qui tisse les êtres entre eux et le monde, les images doivent être composées selon des agencements limpides et des traits clairs.
Jacques Paris, avril 2016 – extrait de la préface.

Vous avez une superbe entreprise

Bonjour à vous,
De retour de Graulhet, je tiens à vous remercier pour cet accueil de toutes vos équipes.
La journée s’est très bien passée, on a pris un plaisir fou à voir / comprendre le processus d’impression. Quelques moments de stress avec les jaquettes mais je m’y attendais.
Bref, on a hâte de recevoir le livre. Merci et encore bravo à tous. Vous avez une superbe entreprise.
Bonne journée,
Lucas

Titanic Orchestra

Titanic Orchestra, Julien Mauve, Poursuite Editions, intérieur


Deuxième beau livre photo de Julien Mauve édité par Poursuite éditions après L’indifférence des étoiles, Titanic Orchestra est une réaction instinctive à la vague de violence qui a frappé Paris en 2015. Comme autant de métaphores, ces images organiques racontent la chute d’un monde et la lutte pour sortir de l’état de sidération qui s’en est suivi. La ville qui est donnée à voir a conservé l’apparence qu’on lui connaît, et pourtant tout est changé.

Le livre de 76 pages est de facture originale, avec un plat dessus / dessous et une reliure dos carré cousu avec couture apparente au fil noir.

Julien Mauve est un artiste visuel vivant à Paris, auteur de séries photographiques narratives et cinématographiques sur le conflit entre condition et interactions humaines. Les différents projets du photographe ont pour thèmes récurrents le silence, la vacuité, l’obscurité et la solitude mis en perspective avec l’essor des nouvelles technologies.  Son travail a reçu plusieurs prix dont le SFR Jeunes Talents – Paris Photo (France) en 2013 et le Sony World Photography Award (Royaume-Uni) en 2016.


Titanic Orchestra, Julien Mauve, Poursuite Editions, intérieur

So Small

So Small, Thomas Chauvin, intérieurPremier beau livre du photographe Thomas Chauvin, So Small est une vision de la solitude de l’Homme au coeur du quartier des affaires de la Défense.  C’est le résultat de deux ans d’errance du photographe au milieu des bâtiments de la Défense. Le livre a été financé grâce à une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank.

 

Cette fabuleuse dalle de béton drainant des salariés de toute l’Île-de-France est un véritable labyrinthe désorientant les employés qui essaient simplement de se rendre au travail. Dès que l’on sort des transports en commun on découvre ces immenses bâtiments au milieu desquels nous avons le sentiment d’être une fourmi.
…/…
Le matin ou le soir c’était un véritable exutoire de me balader avec mon appareil photo sur cette dalle. Celle-ci ne se résume pas à l’esplanade et à l’Arche. Une multitude de recoins existe où l’Homme semble perdu, écrasé parfois par la masse du béton et de verre qui se dresse au dessus de lui.
Thomas Chauvin, extrait de la préface.

Espace(s) 14 – L’espace, lieu d’utopies

Espace(s) n°4 - L'espace, lieu d'utopies, intérieur

 

Espace(s) se présente comme revue de création du XXI° siècle à l’avant poste culturel de l’exploration spatiale. Le n°14 de cette revue atypique éditée par l’Observatoire de l’Espace / CNES est consacré au thème L’espace, lieu d’utopies. La revue est un mélange de textes alliant littérature, poésie et anticipation mêlés d’arts visuels, de musique, d’architecture, de design, d’arts de la scène et de dispositifs poétiques.

Espace(s) est un projet collectif réunissant les auteurs David Christoffel, Eric Pessan et Karin Serres avec les artistes Raphël Dallaporta, Sylvie Bonnot et Michel Gouéry. Sont également invités dans ce n°14 les auteurs des éditions du Chemin de fer, les résidents hors les mur du programme Création et imaginaire spatial, les trois collectifs d’artistes du projet Arrière-plan, les auteurs invités à écrire à partir des mots de la Semaine de la langue française, et le plasticien Eduardo Kac.

François Lartigue -Une ville, des vies – Paris 1963-2013

François Lartigue, Une ville, des vies - Paris 1963 - 2013, intérieur


Une ville, des vies présente 50 ans d’images de Paris par François Lartigue, de 1963 à 2013. Petit fils de Jacques-Henri Lartigue, et connu aussi pour son travail de chef-opérateur au cinéma, François Lartigue est un digne héritier de la photographie humaniste, traquant l’insolite avec humour et poésie, toujours en noir & blanc. Cette série de photos a été exposée en 2013 à la Galerie Binôme à Paris sous le nom de « L’objectif humaniste » avant de se promener en France, notamment à Bagnolet et à Anglet.

 

Pour le cinéma, en tant que chef opérateur, j’éclaire des acteurs, des décors, je fais des images en couleurs, sophistiquées, mises en scène… En photo, au contraire, par contradiction peut-être, je capture les scènes sans les provoquer, mais en attendant le bon moment, c’est à dire le bon geste naturel ou le bon regard des gens gens qui passent, discutent, travaillent. Je ne cherche pas l’esthétisme mais plutôt l’action, dans le bon cadre, qui donnera toute la vie à ma photo.
François Lartigue.

On croit que le quotidien c’est banal, uniforme, sans saveur et pour tout grisâtre. Faux, Archifaux. Seulement voilà, les images du quotidien, il faut savoir les traquer avec l’âme et les yeux d’un chasseur. 50 ans d’errance, à cheval sur sa Vespa, son appareil photo en bandoulière à sillonner les rues d’un Paris qui se métamorphose. …/… Et là j’ai compris que Son immense talent, à François, c’est de nous les rendre fraternels. Chacune de ses photos est une déclaration d’amour ! Paris, je t’aime !!! Je t’aime, je t’aime.
Pierre Richard, extrait de la préface.


François Lartigue, Une ville, des vies - Paris 1963 - 2013, intérieur François Lartigue, Une ville, des vies - Paris 1963 - 2013, intérieur