Influences

Influences, par Luc Eyriey, intérieur

La première édition de l’exposition Influences organisée par Valrhona a eu lieu à la Cité du Chocolat en 2014 à Tain l’Hermitage dans la Drôme. Ce catalogue est celui de l’exposition du travail de Luc Eyriey qui a eu lieu du 3 au 5 mars 2017 à Paris 16° à la Villa Emerige. Cette exposition poursuivra prochainement sa route à Tokyo et à New York. Luc Eyriey est le représentant de la quatrième génération de chocolatiers et pâtissiers d’une famille d’artistes. Autrefois peintre, puis conférencier, aujourd’hui créateur de personnages, il met sa créativité au service de l’École Valrhona pour animer de nombreux évènements à travers le monde.

 

L’exposition consiste à raconter à l’aide de pièces en chocolat comment du japonisme à L’impressionnisme, du manga à la bande dessinée, et de la ligne claire au montage en chocolat, on peut trouver une filiation et une façon de penser différente.
Luc Eyriey – extrait de la présentation de l’exposition.

 

Plutôt que des figures, Luc Eyriey crée des habits de vide, en connaisseur des effets du vide et du plein à l’oeuvre dans l’art japonais. Il conçoit ses formes à partir de la leçon qui a retenue des estampes ukiyo-e et des manga, à savoir que pour soutenir la subtilité du récit qui tisse les êtres entre eux et le monde, les images doivent être composées selon des agencements limpides et des traits clairs.
Jacques Paris, avril 2016 – extrait de la préface.

Vous avez une superbe entreprise

Bonjour à vous,
De retour de Graulhet, je tiens à vous remercier pour cet accueil de toutes vos équipes.
La journée s’est très bien passée, on a pris un plaisir fou à voir / comprendre le processus d’impression. Quelques moments de stress avec les jaquettes mais je m’y attendais.
Bref, on a hâte de recevoir le livre. Merci et encore bravo à tous. Vous avez une superbe entreprise.
Bonne journée,
Lucas

Titanic Orchestra

Titanic Orchestra, Julien Mauve, Poursuite Editions, intérieur


Deuxième beau livre photo de Julien Mauve édité par Poursuite éditions après L’indifférence des étoiles, Titanic Orchestra est une réaction instinctive à la vague de violence qui a frappé Paris en 2015. Comme autant de métaphores, ces images organiques racontent la chute d’un monde et la lutte pour sortir de l’état de sidération qui s’en est suivi. La ville qui est donnée à voir a conservé l’apparence qu’on lui connaît, et pourtant tout est changé.

Le livre de 76 pages est de facture originale, avec un plat dessus / dessous et une reliure dos carré cousu avec couture apparente au fil noir.

Julien Mauve est un artiste visuel vivant à Paris, auteur de séries photographiques narratives et cinématographiques sur le conflit entre condition et interactions humaines. Les différents projets du photographe ont pour thèmes récurrents le silence, la vacuité, l’obscurité et la solitude mis en perspective avec l’essor des nouvelles technologies.  Son travail a reçu plusieurs prix dont le SFR Jeunes Talents – Paris Photo (France) en 2013 et le Sony World Photography Award (Royaume-Uni) en 2016.


Titanic Orchestra, Julien Mauve, Poursuite Editions, intérieur

So Small

So Small, Thomas Chauvin, intérieurPremier beau livre du photographe Thomas Chauvin, So Small est une vision de la solitude de l’Homme au coeur du quartier des affaires de la Défense.  C’est le résultat de deux ans d’errance du photographe au milieu des bâtiments de la Défense. Le livre a été financé grâce à une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank.

 

Cette fabuleuse dalle de béton drainant des salariés de toute l’Île-de-France est un véritable labyrinthe désorientant les employés qui essaient simplement de se rendre au travail. Dès que l’on sort des transports en commun on découvre ces immenses bâtiments au milieu desquels nous avons le sentiment d’être une fourmi.
…/…
Le matin ou le soir c’était un véritable exutoire de me balader avec mon appareil photo sur cette dalle. Celle-ci ne se résume pas à l’esplanade et à l’Arche. Une multitude de recoins existe où l’Homme semble perdu, écrasé parfois par la masse du béton et de verre qui se dresse au dessus de lui.
Thomas Chauvin, extrait de la préface.

Espace(s) 14 – L’espace, lieu d’utopies

Espace(s) n°4 - L'espace, lieu d'utopies, intérieur

 

Espace(s) se présente comme revue de création du XXI° siècle à l’avant poste culturel de l’exploration spatiale. Le n°14 de cette revue atypique éditée par l’Observatoire de l’Espace / CNES est consacré au thème L’espace, lieu d’utopies. La revue est un mélange de textes alliant littérature, poésie et anticipation mêlés d’arts visuels, de musique, d’architecture, de design, d’arts de la scène et de dispositifs poétiques.

Espace(s) est un projet collectif réunissant les auteurs David Christoffel, Eric Pessan et Karin Serres avec les artistes Raphël Dallaporta, Sylvie Bonnot et Michel Gouéry. Sont également invités dans ce n°14 les auteurs des éditions du Chemin de fer, les résidents hors les mur du programme Création et imaginaire spatial, les trois collectifs d’artistes du projet Arrière-plan, les auteurs invités à écrire à partir des mots de la Semaine de la langue française, et le plasticien Eduardo Kac.

François Lartigue -Une ville, des vies – Paris 1963-2013

François Lartigue, Une ville, des vies - Paris 1963 - 2013, intérieur


Une ville, des vies présente 50 ans d’images de Paris par François Lartigue, de 1963 à 2013. Petit fils de Jacques-Henri Lartigue, et connu aussi pour son travail de chef-opérateur au cinéma, François Lartigue est un digne héritier de la photographie humaniste, traquant l’insolite avec humour et poésie, toujours en noir & blanc. Cette série de photos a été exposée en 2013 à la Galerie Binôme à Paris sous le nom de « L’objectif humaniste » avant de se promener en France, notamment à Bagnolet et à Anglet.

 

Pour le cinéma, en tant que chef opérateur, j’éclaire des acteurs, des décors, je fais des images en couleurs, sophistiquées, mises en scène… En photo, au contraire, par contradiction peut-être, je capture les scènes sans les provoquer, mais en attendant le bon moment, c’est à dire le bon geste naturel ou le bon regard des gens gens qui passent, discutent, travaillent. Je ne cherche pas l’esthétisme mais plutôt l’action, dans le bon cadre, qui donnera toute la vie à ma photo.
François Lartigue.

On croit que le quotidien c’est banal, uniforme, sans saveur et pour tout grisâtre. Faux, Archifaux. Seulement voilà, les images du quotidien, il faut savoir les traquer avec l’âme et les yeux d’un chasseur. 50 ans d’errance, à cheval sur sa Vespa, son appareil photo en bandoulière à sillonner les rues d’un Paris qui se métamorphose. …/… Et là j’ai compris que Son immense talent, à François, c’est de nous les rendre fraternels. Chacune de ses photos est une déclaration d’amour ! Paris, je t’aime !!! Je t’aime, je t’aime.
Pierre Richard, extrait de la préface.


François Lartigue, Une ville, des vies - Paris 1963 - 2013, intérieur François Lartigue, Une ville, des vies - Paris 1963 - 2013, intérieur

Les cahiers de la photographie – n°11 – mars 2017

Les cahiers de la photographie, revue de l'Union des Photographes Professionnels Les cahiers de la photographie, revue de l'Union des Photographes Professionnels

Ce n° 11 de mars 2017 des Cahiers de la photographie est en réalité le n°1 de la nouvelle version voulue par l’Union des Photographes Professionnels. Revoici en effet les Cahiers, rajeunis, plus beaux et plus riches. La ligne éditoriale valorisera dorénavant un seul sujet par numéro, ce qui permettra d’approfondir chaque thème et de faire des Cahiers de la photographie une référence utile et pratique.

Pour ce premier numéro de la nouvelle formule, les cahiers explorent les photographes français qui s’exportent, soi vivant en France et travaillant à l’étranger, soit partis vivre dans un autre pays. Un portfolio de Marc Riboud retraçant l’œuvre majeure de ce grand photographe du XX° siècle est également présenté afin de lui rendre hommage et de fêter les 70 ans de Magnum.

Un dépliant Escourbiac « Objectif Livre Photo ? » est imprimé et fourni avec chaque exemplaire de la revue.

Solitudes

Solitudes, Dorian François, Coffret étui + 5 livres dépliants


Avec Solitudes, le photographe Dorian François nous présente en 5 chapitres son voyage à la fois intérieur et extérieur en Chine. L’idée de départ était de rester une semaine à chaque étape avec comme consigne de photographier et écrire tous les jours, quoi qu’il arrive. L’originalité de l’ouvrage est que l’édition vient se mettre au service du récit : un coffret de 5 livres, chaque livre présentant les textes et les photographies qui déploient dans un leporello – une reliure en accordéon qui met en relation le voyage littéraire et le voyage photographique : au recto, les images, au verso les textes. A chaque livre sa couverture et la mise en page dynamique qui, en dépliant l’accordéon, permet de découvrir les images panoramiques en séquences, tout en gardant une lecture simple du côté du journal.

Solitudes est une superbe édition d’art : coffret sérigraphié, cinq dépliants leporello imprimés en Offset Bichromie. Un coffret collectionneur a été tiré à 10 exemplaires, accompagnés de 5 tirages barytés signés réalisés par Stéphane Cormier, et présentés dans une boite bois réalisée sur mesure par Tanguy Trotel.

Au fur et à mesure du voyage l’écriture s’éloigne du « carnet de photographe », ce que je vois et vis en Chine m’emporte vers des souvenirs d’enfance, des rêves, des émotions et des questionnements qui me renvoient à des proches aimés et à la France. Finalement, le journal écrit n’a presque rien à voir avec la Chine, du moins pas celle que je vois, le pays que je photographie.
Cette coupure est la particularité de ce travail, cette séparation progressive entre ces deux voyages – intérieur et extérieur – qui se juxtaposent et dialoguent au sein d’un récit final séquencé en 5 chapitres.
Dorian François


Solitudes, Dorian François, livres dépliants Leporello

Solitudes, Dorian François, vue sur le Leporello

Carnet d’idéation EDF

Carnet d'idéation, EDF, intérieur

Carnet de projet de 96 pages réalisé à l’occasion du bootcamp « Smart BT » du Service R&D de EDF qui a eu lieu les 29 et 30 mars 2017 dans les locaux d’EDF à Paris Saclay. Le carnet a servi  à 150 ingénieurs et chercheurs pour la prise de notes suivant des méthodes originales et novatrices d’intelligence collective ( mind mapping / masterplanning / to do list).  Ce carnet minimal et élégant a été conçu par 23H59 Editions, avec la collaboration de TheBlueMakers.com.

Ce produit s’inscrivant dans le programme innov’Mire d’EDF a été réalisé en impression numérique.

My Share of the Myth, haute couture numérique

My share of the myth est un exemple de livre « haute-couture »  numérique. Ce beau livre du photographe français Christophe Schumacher a en effet été imprimé en seulement quatre exemplaires afin de participer au Concours 1st Book Award 2017 de l’éditeur londonien Mack.

L’appellation « haute-couture »  numérique se justifie par la facture du livre : couverture rigide, reliure cartonnée cahiers cousus, marquage à chaud doré brillant sur les premières et quatrièmes de couverture, papier haute qualité Gardapat 13 Kiara. Du bel ouvrage, pour une édition de seulement quatre exemplaires !

Ce type d’impression haut de gamme en si petit nombre est économiquement rendu possible grâce à  notre Presse Numérique Linoprint CV de Heidelberg, conduite de main de maître par Franck Surowiec.