Svalbard, Expéditions


La réalisation de ce beau livre de 192 pages est le fruit de quatre expéditions en arctique au Svalbard effectuées par le photographe Philippe Bolle. Quatre périodes que nous pourrions appeler l’hiver (mars), le printemps (juin), l’été (août) et l’automne (septembre). Une expédition polaire demandant des compétences particulières, le photographe s’est entouré de professionnels aguerris, dont les agences Photographes du Monde, Escales Polaires et Wild Photo Travel, ainsi que Benoist Clouet – photographe, guide, conférencier, et auteur de la préface – et des guides Murielle Denis et Martin Enckell.
Ces quatre expéditions que Philippe nous propose dans ce livre ont toutes été riches et les rencontres nombreuse et intenses en émotion. C’est ce que Philippe souhaite nous faire partager à travers ces belles images glanées au fil des mois. En mars/avril lorsque l’archipel est recouvert d’un blanc immaculé et que la lumière rasante effleure chaque versant ; en juin, lorsque la nature est foisonnante, que les oiseaux sont nombreux, très actifs et que le soleil nous tourne au dessus de la tête sans jamais passer sous la ligne d’horizon ; fin aout, lorsque les lumières extraordinaires de minuit viennent caresser la tête d’un morse ou illuminer les glaciers ; et enfin septembre, à la rencontre de la banquise, des ours polaires et de la côte Est de l’archipel.
Benoist Clouet, extrait de la préface
Sur Paris

Premier livre du photographe Alain Cornu, sur Paris est un projet artistique et photographique entamé en 2009. Par cette série de photographies, cet amoureux de Paris, veut rendre hommage à la ville et amener à la regarder différemment. Donnant à voir ce qui est caché au passant de la rue, antennes, cheminées, travail du zinc et des différents matériaux ainsi que redécouvrir les immeubles et les monuments parisiens sous un nouvel angle. Le financement de ce premier beau livre de photographies sur les toits de Paris a été réalisé grâce à une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank.
« J’avais des références personnelles très variées, qui allaient des Aristochats, aux peintures de Caillebotte ou VanGogh, ainsi que des films, des romans, des poésies et des photographies dont celles de Brassaï, bien sûr. Mais également des souvenirs d’étudiant, lorsque je logeais dans les chambres de bonnes. »
Alain Cornu
Alain Cornu est un photographe Français né en 1966 à Decize (Nièvre). Il vit à Paris. Très tôt, il se passionne pour le dessin, la peinture, la sculpture et la photographie. Après un enseignement secondaire tourné vers les Arts Plastiques, il intègre GOBELINS, l’école de l’image à Paris, où il apprend la technique photographique pendant 2 ans. Il poursuit sa formation en tant qu’assistant et devient professionnel en 1991. Dès lors, son travail va suivre deux voies distinctes et complémentaires. D’abord, le studio dans lequel il développe ses projets de nature morte et de portrait dans le domaine publicitaire. Ensuite, l’extérieur où il élabore sa pratique du paysage. Au cours de ces quinze dernières années, il a exploré la France à travers le littoral atlantique, les zones rurales et la forêt.
Et si le jazz est la vie


Et si le jazz est la vie vient fixer sur le papier une aventure numérique démarrée il y a 6 ans par Fred Blanc, photographe, poète, écrivain et graphiste. Le projet global est formé de 12 animations plurimedia (poem-poèmes) en noir & blanc qui magnifient le jazz autour de quatre thèmes : l’espoir, l’errance, la violence et l’évasion. L’auteur utilise différent modes d’expression : poèsie, photo (pas que de jazz), dessin, graphisme, typographie & animation.
Chacune de ces 12 petites oeuvres multi-média est composée de plusieurs centaines de planches fixes, mises en mouvement autour d’un poème par Matthieu Desport, d’une cinquantaine de photos et de dessins, des voix de Sanseverino, Jean-Claude Dreyfus, Claude Degliane ou Camille Bertault, et de la musique de Francesco Bearzatti. Dépassant le Jazz, ces thèmes se retrouvent aussi bien dans les processus de création que dans la vie. Espoir de découverte, errance dans la recherche, violence de conception & évasion vers l’inconnu. 4 ressentis qui nous rappellent que nous sommes bien en vie.
Après Penninghem (ESAG) et un tour du monde, Fred Blanc devient graphiste, photographe, poète et designer d’images (mentales & visibles) chez byfredblanc. Entre 1996 et 2015, il accompagne des entreprises dans l’image de leur marque avec des projets aussi divers qu’un agenda photographique ou une sculpture monumentale de Jean Vuarnet. En 2012, l’artiste se voit décerné par photographie.com le coup de cœur de la 49ème Bourse du Talent Reportage. En 2014, Fred Blanc crée les « Sunday Jazz Loft« , concerts en appartement, aux côtés du musicien saxophoniste Francesco Bearzatti. Et si le Jazz est la vie est son troisième livre, après Téléphérique pour l’enfance, ouvrage photographique, et le recueil de poésie Des mots mis en baraques à son, les deux aux Éditions Jean-Michel-Place
Change


Change, premier volume de la Collection Gould, réuni la nouvelle éponyme de Stephen Dixon avec les photographies prises entre 1996 et 2009 de Mikiko Hara. Les mots de Dixon et les clichés de Hara ont pour point commun l’isolement et la déconnexion sociale. Le dialogue entre textes et photos se traduit visuellement par un design inventif, les textes de Dixon imprimés sur papier bleu irrisé Steardream Lapiz Lazuli s’intercalant entre les images en couleur de Mikiko Hara imprimées sur papier blanc Symbol Tatami.
The Gould Collection est une série de livres réunissant photographes contemporains et écrivains de nouvelles. La série est publiée à la mémoire de Christophe Crison, collectionneur parisien de livres photo décédé tragiquement en juillet 2015 à l’âge de 45 ans. The Gould Collection est co-éditée par Laurence Vecten (Paris), Russet Lederman (New York City) et Yoko Sawada (Tokyo).
Mikiko Hara est une photographe japonais vivant à Kawasaki, diplômé en littérature à l’Université Keio avant d’étudier la photographie à Tokyo. Les photographies de Hara captent le quotidien de l’existence des gens, en particulier des femmes, dans des lieux ordinaires. Son travail a été exposé au J. Paul Getty Musée de Los Angeles et au Metropolitan Museum de Tokyo.
Stephen Dixon, deux fois finaliste pour le National Book Award avec Frog en 1991 et Interstate en 1995, est l’auteur de dix-sept romans et seize recueils de nouvelles. Né à New York, il a travaillé comme journaliste, rédacteur, professeur de collège, barman, serveur et vendeur dans un grand magasin avant d’enseigner l’écriture et la littérature à l’Université John Hopkins de 1980 à 2007.
Un chemin vers la paix


Un chemin vers la paix présente une nouvelle fois le travail de Dominique Roger, photo-reporter puis Directrice du Service photographique de l’UNESCO jusqu’en 1992. L’objectif majeur de ce livre est de s’inscrire dans les efforts réalisés en faveur d’une Culture de la Paix et de contribuer à convaincre que celle-ci passe nécessairement par l’Éducation. Ce beau livre édité par ALAMO Consultants est une nouvelle contribution inestimable de la photographe à la mémoire visuelle de l’UNESCO, faisant suite à une longue liste : « Femmes », « Eaux rares », « Lettres de vie », « Tolérance », « Les femmes disent Non à la guerre » ou « La conquête de l’Âge ».
Je n’ai pas la prétention de connaître tous les pays. Mais entre 1965 (date de la ma première mission en Algérie et la dernière en 1990 au Cap Vert, j’ai effectué 135 voyages dans 77 pays différents, c’est dire à quel point l’accès à l’Éducation était au centre des préoccupations des États comme de l’Organisation Internationale à laquelle j’appartenais.
L’UNESCO m’a offert le monde et c’est à Elle que je dois d’avoir ouvert les yeux sur les différences, les inégalités, les attentes des plus démunis, en un mot : sur les Autres. Et en particulier sur les “Humbles”. Les hommes qui, épuisés de labeur, veulent apprendre à lire pour participer au monde, sortir de cette terrible exclusion qu’est l’ignorance ; les femmes accablées de tâches subalternes qui revendiquent leur droit à la connaissance, les enfants que sauveront leur facilité à apprendre et leur inépuisable curiosité.
C’est une expérience inoubliable que je me dois de transmettre en souvenir de l’espoir fou qui nous animait, d’un monde meilleur auquel il faut croire encore, plus que jamais, même si, comme nous, et parfois cruellement, il a changé.
Dominique Roger
Japon – D’encre et de lumière

Japon – D’encre et de lumière symbolise la rencontre d’un photographe, Jean-Claude Fournier, et d’un calligraphe, Frédéric Kuhnapfel, autour d’une même passion pour le pays du soleil levant. Ni guide touristique, ni essai touristique, ce livre est une invitation à la rêverie et au voyage, une évocation poétique, esthétique et parfois insolite du Japon d’hier et d’aujourd’hui…
Ce beau livre imprimé en HR-UV sur papier Gardapat a été financé en partie par une campagne de crowdfunding sur Ulule.
Ce monde imparfait
Mais pourtant recouvert
De cerisiers en fleur
Issa – 1763-1827
« Photographier, c’est dessiner avec la lumière » – Son nikon en bandoulière, Jean-Claude Fournier parcourt la planète depuis près de quarante ans, à la rencontre de la faune sauvage et des minorités ethniques. Depuis quelques années, il s’est pris de passion pour le Japon qu’il a visité à plusieurs reprises. Fasciné par ce pays, par sa beauté et pour son rapport à la tradition et à la modernité, il tente, avec sensibilité et talent, d’approcher dans ses images l’âme du grand peuple nippon.
« S’émerveiller devant la sobre majesté de l’encre » – Imprégné de culture japonaise, amoureux de la langue, Frédéric Kuhnapfel a fondé en octobre 2001 l’école Tsukiyo, à La Rochelle, où il enseigne la calligraphie et le sumi-e (peinture à l’encre). Un art qui conjugue avec rigueur et subtilité, technique, philosophie et poésie. Le sens des lignes, l’épaisseur des traits, l’équilibre des éléments, la gestion de l’espace soulignent autant l’élégance que l’énergie et la sagesse. Quand le pinceau de bambou de Frédéric glisse sur la feuille de papier de riz, plus qu’un caractère d’écriture, plus qu’un dessin ou une peinture, l’encre dévoile l’univers intime de l’artiste.
Voltaire Tour, Eux, Livre 1

Le Voltaire Tour, Eux, Livre 1 présente trente portraits de connus et d’inconnus recueillis après plus de 15 000 km dans toute la France. Pour son auteur, le photographe Benjamin Degrève, le Voltaire Tour est plus qu’un livre, c’est une promesse tenue suite à une maladie survenue dans son proche entourage. Chaque portrait est composé d’un texte personnel et d’une photographie en compagnie du fauteuil Voltaire, avec un leitmotiv : « Devenez qui vous êtes ».
Ce beau livre de photographies a été financé par une campagne de financement participatif sur MyMajorCompany.
Tout commença avec son sourire, cela continuera avec les vôtres.
Des portraits différents mais tellement semblables.
Un fauteuil « Voltaire » qui vous ressemble.
Des Humains qui nous poussent dans notre réflexion, à l’intuition.
Ils, sans prétention,
Sont faibles et forts à la fois.
Etes-vous prêt à aller vers les autres ?
Extrait du quatrième de couverture.
Benjamin Degrève entre en passion pour la photographie en 2003 après la simple rencontre avec un arbre, près de sa ville natale, Avallon. En 2012, il réalise une série de photos de Craig Walker, chanteur irlandais du groupe Mineral, à Paris puis à Dublin. Cette série de clichés fera l’illustration de pages de magazines et de webzines dans toute l’Europe. En 2013, la perte de proches chers à ses yeux déclenche l’inspiration de P.O.R.N.O (Pour Ouvrir le Regard de Nouveaux Objectifs), exposition qui devient rapidement un buzz. Sa dernière série exposée, Le Voltaire Tour, est l’occasion de publier son premier livre à compte d’auteur.
French Reiners : de l’ombre à la lumière

Ce premier livre du photographe Greg Niro regroupe des photos portraits sur les French Reiners avec un petit historique pour chacun. L’équitation western, moins connue que l’équitation anglaise dite classique est issue des Etats-Unis, elle est constitué de plusieurs disciplines sportives. Parmi elles, le Reining, épreuve de dressage à cheval peu connue du territoire français. Photographe professionnel depuis 2007, et cavalier de reining depuis plus de quinze ans, les connaissances de Greg Niro dans le domaine lui ont permis d’accéder rapidement à la couverture des plus grandes compétitions de reining en France.
J’ai le simple souhait que ce livre plaise, du public novice au public averti. C’est tout d’abord un travail sur l’image, la lumière, des poses bien spécifiques se rapprochant du naturel de chaque individu. Tous les professionnels français ne sont pas représentés dans ce livre, il faudrait encore beaucoup de temps, et certains se trouvent à l’étranger.
J’espère faire avancer la médiatisation de cette discipline, à sortir un peu de l’ombre tous ces sportifs vers la lumière.
Greg Niro
Autodidacte depuis 2007, Greg Niro s’est plongé professionnellement dans le métier de la photographie., passionné par la photo de portrait noir et blanc en studio. Son autre passion, les chevaux américains, l’a propulsé dans la photo sportive, essentiellement l’équitation western ; domaine dans lequel le photographe a plus de 5 ans d’expérience sur le terrain et plusieurs parutions dans les magazines spécialisés.
Géniale Nature – Nouvelle-Zélande


Dans ce livre de Sabine Bernert de la collection jeunesse Géniale Nature, Sabine et ses copains entraînent petits et grands lecteurs à la découverte de l’incroyable faune de la Nouvelle-Zélande. Bienvenue sur une autre planète !
On en connait le rugby, les moutons et les incroyables paysages du « Seigneur des Anneaux ». Mais savez-vous que la Nouvelle-Zélande abrite des animaux que l’on compte parmi les plus rares et les plus anciens de notre planète ? Comme les reptiles tuataras et les grenouilles leiopelma qui ont survécu à la disparition des dinosaures, ou les plus étranges comme le perroquet kakapo et le kiwi, ces drôles d’oiseaux qui ne volent plus et vivent la nuit, ou encore de surprenantes petites chauve-souris qui gambadent au sol !
Durant six saisons, Sabine Bernert a vécu aux côtés des rangers, scientifiques et bénévoles qui sauvent les espèces menacées de cet archipel et les a accompagnés dans leurs expéditions, au cœur des plus hautes montagnes et des îles les plus secrètes.
Ce beau livre jeunesse est le deuxième de la collection Géniale Nature, après Biomimétisme édité en 2015.
IIKKI 002 – Alveare

Alveare est le résultat d’un dialogue initié par IIkkI entre l’artiste Matthias Heiderich, photographe berlinois de paysages urbains, et le musicien Andrea Belfi, batteur, compositeur et musicien expérimental, autour de l’architecture visionnaire des édifices massifs des habitations à loyer modéré de l’Italie d’après-guerre. Le projet complet, IIkkI 02~ Alveare est composé d’un livre et d’un disque vinyle. Chaque objet peut être apprécié de différente manière : regardé et écouté ensemble ou séparément.
L’architecture est reconnue depuis une centaine d’années comme un spécialité de la photographie allemande. Les photos de Matthias Heiderich ne font pas exception à la règle. L’influence de la tradition allemande est omniprésente dans son travail. Avec la même rigueur et le même pragmatisme que Bernd et Hilla Bechers, Heiderich s’intéresse aux formes et aux structures des habitations et des constructions industrielles. Comme eux, il ne photographie jamais l’humain, et pourtant chacune de ses photos est emplie d’humanité, soulignant ainsi comment chaque construction est un produit de l’habilité et de l’esprit de l’homme.
– Gwen Lafage
Basé à Berlin, Matthias Heiderich est un explorateur des paysages urbains. Son jeu avec les lignes et les couleurs nous offrent sa propre vision des villes, ainsi qu’une nouvelle perspective de la photographie d’architecture, le tout avec un regard humaniste.