Livres

Titre : "Dordogne été 1960"

Sous-titre : Sédiments 13 - Les grands cahiers Périgord Patrimoines

Auteurs : Bernard Chambaz et René-Jacques

ISBN : 978-2-491992-11-8

Éditeur : Les Éditions du Ruisseau

Texte : Bernard Chambaz

Photographies : René-Jacques

Conception : Romain Bondonneau et Enora Boutin

Exécution de la maquette : Enora Boutin

Photogravure : Christophe Boënnec - Escourbiac

Achevé d'imprimer en avril 2022

Nombre de pages : 96

Façonnage : format 21 x 29 cm à la française, dos carré cousu collé, couverture 4 pages + 2 rabats de 12 cm dépassants, intérieur 6 x 16 pages, rainage et pliage des rabats de couverture

Impression :
- Couverture :
 quadri recto
- Intérieur : bichromie (noir + gris Pantone 403)

Types de papiers utilisés :
- Couverture : 
imprimée sur Keaykolour gaufrage rayé Cygne 300 g
- Intérieur : imprimé sur Condat Mat Périgord 150 g

Site de l'éditeur: https://editionsduruisseau.fr/

Dordogne été 1960 – Sédiments 13 des Éditions du Ruisseau

Dordogne été 1960 - Sédiments 13 - Les grands cahiers Périgord Patrimoines, Bernard Chambaz, René-Jacques, intérieur

Dordogne été 1960 – Sédiments 13 des Éditions du Ruisseau. L’écrivain, romancier et poète Bernard Chambaz revient sur ses vacances d’enfant en Dordogne. Il a 11 ans en été 1960, et c’est un véritable retour en enfance que vit Bernard Chambaz avec ce beau livre, accompagné par les photographies noir et blanc de René-Jacques (1908-2003). Dordogne été 1960 est une brochure souple au format à la française édité par Les Éditions du Ruisseau, reliure en dos carré cousu, imprimé en offset HR-UV en bichromie sur papier Condat mat Périgord 150 g/m². La couverture 4 pages à rabats dépassants est imprimée en quadrichromie sur papier Keaykolour gauffrage rayé cygne 300 g/m².

 

Ce numéro 13 de notre collection Sédiments veut ainsi rendre hommage à ce photographe injustement oublié qui participa pourtant grandement au rayonnement du Périgord, au travers des affiches et des nombreuses publications grand-public. Le récit de Bernard Chambaz qui passa ses vacances d’été au Bugue, accompagne avec bonheur ces belles images qui nous ramènent au moins soixante ans en arrière. Avec le recul, tout paraissait plus simple, plus vrai, plus enchanteur. En vérité, rien n’est moins sûr mais pourquoi ne se laisserait-on pas envahir par cette douce nostalgie ?
Romain Bondonneau et Enora Boutin, extrait du texte « René-Jacques et le Périgord », page 95