Beaux livres

Titre : "Koï - Voyage photographique poétique esthétique des carpes japonaises"

Auteur : Laurent Barrera

ISBN : 979-10-699-9769-1

Éditeur : auto-édition

Photographies : Laurent Barrera

Haïkus : Mélanie Bosc

Calligraphies : Keiko Yokoyama

Préface : Philippe Chanelet Dardenne - Galerie L'embrasser, Paris

Graphisme : Pascal Perron

Achevé d'imprimer en juillet 2022

Nombre de pages : 64

Façonnage : format 20 x 28 cm à la française, dos carré cousu, fil couleur lin, couverture 2 volets et 2 rabats latéraux débordant, rainage et pliage des rabats débordants

Impression :
- Couverture :
noir recto
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur Materica Kraft FSC 250 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Polar Rough FSC 150 g

Koï esthétique des carpes japonaises – Laurent Barrera

Koï esthétique des carpes japonaise, Voyage photographique poétique, Laurent Barrera, Mélanie Bosc, Keiko Yokoyama, autoédition
Koï - Voyage photographique poétique et Esthétique des carpes japonaise, , Laurent Barrera, Mélanie Bosc, Keiko Yokoyama, autoédition

Koï esthétique des carpes japonaises par Laurent Barrera. Koï est un beau livre, une proposition de voyage photographique poétique sur l’esthétique des carpes japonaises de Laurent Barrera, accompagné par les haïkus de Mélanie Bosc et les calligraphies de Keiko Yokoyama. Préfacé par Philippe Chanelet Dardenne, galerie L’embrasser, Paris, et autoédité grâce à une campagne de crowdfunding sur Ulule. Premier prix du livre photo du Festival International 2022 de Namur en Belgique, l’ouvrage est une reliure souple, dos carré cousu, fil couleur lin, imprimé en quadrichromie, encres HR-UV, sur papier Arctic Paper Munken Polar Rough FSC 150 g/m². La couverture 2 volets à rabats latéraux débordants est imprimée en noir sur papier Materica Kraft FSC 250 g/m².

 

La qualité pigmentaire des photographies retravaillées avec délicatesse à l’aquarelle et à l’acrylique par l’artiste ont fait évidemment écho à l’inspiration des estampes classiques. Mais au-delà, c’est surtout la belle évocation d’une nature à la fois simple et généreuse mais également mystérieuse qui m’a immédiatement rappelé le grand photographe japonais de Niigata, Akira Niida.

Installez-vous dans un lieu confortable, choisissez une musique classique de Debussy ou des chants Shomyo ou encore une composition de Ryuichi Sakamoto et accordez-vous un moment de découverte, d’étonnement et laissez la beauté entrer en découvrant l’univers artistique de Laurent Barrera.

Philippe Chanelet Dardenne, galerie L’embrasser, Paris – Extrait de la préface