Beaux livres

Titre : "Roma"

Auteur :  Jacques Quecq d'Henripret

ISBN :  978-2-9530362-1-3

Préface :  Alain Tapié, Conservateur en chef honoraire des musées de France

Nombre de pages :  204

Tirage :  1200

Façonnage : habillage de couverture rembordé sur carton 30/10, gardes rapportées 2 x 4 pages, reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé

Impression :
- Couverture :
  quadri recto + pelliculage brillant recto
- Intérieur :
 quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché moderne demi-mat 135 g
- Intérieur : imprimé sur Sirio color Lampone 140 g
- Intérieur : 
imprimé sur Symbol Tatami 150 g

Roma

« Roma » est le fruit d’une histoire d’amour de 10 ans du photographe lillois Jacques Quecq d’Henripret pour la ville de Rome. Après une résidence d’artiste en 2004, l’artiste n’a jamais cessé d’y retourner et de photographier la ville, non sans humour. Ce beau livre monumental de plus de deux cent pages est un parcours photographique en argentique, une immersion totale, une somptueuse promenade, photographiant la Vie, notre vie, loin du tourisme envahissant.

Roma, Jacques Quecq d'Henripret, intérieur

Descriptif : « Roma » est le fruit d’une histoire d’amour de 10 ans du photographe lillois Jacques Quecq d’Henripret pour la ville de Rome. Après une résidence d’artiste en 2004, l’artiste n’a jamais cessé d’y retourner et de photographier la ville, non sans humour. Ce beau livre monumental de plus de deux cent pages est un parcours photographique en argentique, une immersion totale, une somptueuse promenade, photographiant la Vie, notre vie, loin du tourisme envahissant.


« Roma » est le deuxième livre de Jacques Quecq d’Henripret après « Cristal Palace, l’ordre et le chaos et leur mise en miroir’ en 2007. Le livre a été réalisé suite à une campagne de financement participatif sur Ulule.

Jacques Quecq d’Henripret unit la manière du peintre à celle du photographe. Il quitte le monde réel pour la fiction et néglige le témoignage du visible. Il remplit ces fragments d’un imaginaire posé, composé, puisé dans la Rome de tous les temps. La nature y reprend ses droits en artiste. La ruine porte la promesse d’une recomposition.
– Alain Tapié, extrait de la préface

Né à Lille en 1942, Jacques Quecq d’Henripret pratique la photographie depuis l’âge de 15 ans. Après avoir travaillé pendant quinze ans dans un grand studio de prise de vue où il a été formé aux techniques de haut niveau, Jacques s’est installé comme photographe-auteur, utilisant essentiellement une chambre photographique, développant et tirant sur papier dans son propre laboratoire, en passionné de l’image argentique. En parallèle, le photographe s’est spécialisé dans la prise de vue d’objets d’art, du tableau à l’architecture, et a ainsi travaillé pour de grandes institutions et participé à la réalisation de catalogues de collections et d’expositions, du Palais des Beaux-Arts de Lille au Metropolitan Museum of Art à New-York. Son travail est inspiré par la fréquentation des œuvres d’art et par la rigueur du technicien. L’artiste a notamment expérimenté diverses méthodes de développements au gélatino-bromure d’argent, devenus sa spécialité, les virages, les photogrammes, les solarisations, l’infrarouge, les sténopés, etc.