Beaux livres

Titre : "Safari Numérique"

Auteur : Nicolas Boutruche

ISBN : 978-2-9534040-5-0

Éditeur : APPFF

Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en juin 2020

Nombre de pages : 108

Façonnage : format carré 30 x 30 cm, habillage de couverture papier rembordé sur carton 30/10, gardes vierges rapportées 2 x 4 pages, reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé, tranchefile tête et pied

Impression :
- Couverture :
quadri recto, pelliculage brillant
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché brillant
- Gardes rapportées : Pop set
- Intérieur : imprimé sur couché brillant

Safari Numérique par Nicolas Boutruche

Nicolas Boutruche, Safari Numérique, intérieurNicolas Boutruche, Safari Numérique, intérieur
Safari Numérique présente dix années de photographie de Nicolas Boutruche, ses séries « Du Voyeurisme au 1/10ème« , « Apesanteur« et « Nak d », ainsi des croquis préparatoires, du making of et un chapitre sur son atelier. Des détails de ses photographies très grand format , pouvant aller jusqu’à 3 mètres de large, sont également exposées dans le livre. Du préambule au générique de fin, le beau livre de 108 pages imprimées sur en quadrichromie sur papier brillant, tout en couleurs et en lumières, nous permet d’entrer dans les coulisses du travail de mise en scène photographique si particulier à Nicolas Boutruche. Safari Numérique est le fruit d’un projet de financement participatif sur la plateforme Ulule.

 

Le mot « photographique » provient de deux racines d’origine grecque : le préfixe photo- (lumière, clarté) : « qui procède de la lumière » «qui utilise la lumière » et le suffixe -graphie (peindre, dessiner, écrire) : « qui écrit », « qui aboutit à une image ».

Voilà dix ans que je me suis mis à la photographie. Dix ans que j’essaie au mieux de retranscrire ce que j’ai dans la tête, de laisser l’enfant exprimer sa vision.

L’enfance, l’insouciance, la gaité, les rires et les rêves que l’on a perdus, ces moments de jeu dont on cherche le souvenir. J’ai voulu me rappeler ces images qui m’ont fait sourire et transformer la réalité trop banale ou encore trop lointaine, ces images qui illustraient bien des mystères et déguisaient le quotidien et l’ennui en comédie.

Un peu de mise en scène, de recherche, on goûte, on s’interroge… Et si le regard n’était que fantaisie.

Quatrième de couverture