Le marchand de sommeil

Le Marchand de sommeil est le nouvel album jeunesse illustré de Luna Granada pour les éditions l’Avant-Courrier. Line, une petite fille de la ville, voit son quartier se métamorphoser. Autour d’elle, les fenêtres des immeubles sont murées les unes après les autres. Les habitants suspectent « le marchand de sommeil »… Mais qui est ce mystérieux personnage ? Va-t-il bientôt s’en prendre à son propre logement ?

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Bijou(x) de Peau(x) 2017

Bijou(x) de Peau(x) 2017, catalogue d'exposition, intérieur livre ouvertL’exposition Bijou(x) de Peau(x) 2017  est le résultat d’un travail collectif et inter-sections autour du travail sur le cuir, identité de la région de Graulhet. Le projet : concevoir des parures ornementales dont le cuir constitue la matière d’œuvre privilégie. Onze équipes pluridisciplinaires ont été constituées, mêlant élèves-designers et étudiants-artisans d’art des formations « Art du bijou et du joyau » du lycée Clément de Pémille, Graulhet et de « Sciences et technologies du Design » du Lycée des Arènes, Toulouse.

Dans un deuxième temps, deux autres formations des mêmes établissements se sont à leur tour impliqués dans le projet : le BTS « Design graphique » pour le lycée des Arènes et le Baccalauréat professionnel « Photographie » pour le  lycée Clément de Pémille ; les apprentis photographes et étudiants en graphisme prenant en charge conjointement la communication visuelle de l’évènement en concevant affiche, flyer et catalogue.

L’exposition sera présentée tout l’état 2017, jusqu’au 31 août, au Cinéma Vertigo à Graulhet.

 

Berlingot, concentré érotique fluide

Berlingot, concentré érotique fluide, intérieur livre ouvert

 

Premier numéro de Berlingot, condensé artistique fluide, une revue érotique artistique explorant la fluidité des genres et des sexualités à travers le prisme d’une sélection de 40 artistes. La revue est une compilation de 10 rubriques fluctuantes, comme des horizons multiples pour explorer un paysage : Anatomie / Animal / Bota-nique / Energie / Fetish  / Genderfuck / Rectum Versum / Up & Down / Cordes / Playlist.

L’objet imprimé se veut vivant, libre, et le support d’évènements qui incarneront ce manifeste, au travers de soirées mêlant performances, workshop, musique, débats ou conférences. Le projet démarre à Toulouse, et voyagera au gré de ses désirs.

La réalisation de ce premier numéro a été financée par un crowdfunding sur We Make It.

 

Voici enfin entre vos mains l’objet de mes désirs, de vos désirs. Après des mois et des mois de réflexion, de recherches, et de travail excitant, la réussite du crowdfunding sur We Make It a récompensé nos ardeurs. C’est donc le début d’une belle aventure qui explorera les corps, les désirs, les genres, les sexualités, les orgasmes et autres réjouissances. L’Art comme talweg, l’instinct comme guide, le plaisir comme jalon. Je vous souhaite une chaude lecture, je vous souhaite d’y laisser quelques gouttes scintillantes.
Marie Savage Slit – Extrait de l’Edito.

 

Elle s’était éprise d’une passion pour les creux des corps des gens.
Chaque creux pourrait être le lit d’un lac artificiel.
Ce serait beau un corps qui porte des lacs elle se disait. Ce serait même apaisant en fait.
On pourrait s’y laver, s’y abreuver.
Chaque geste serait alors plus prudent, plus conscient, pour ne pas renverser les lacs.
Ou au contraire, dans la panique, la colère ou l’extase, les corps éclabousseraient l’espace de l’eau des petits lacs. Ce tourbillon d’émotions fini, les lacs à sec se re-empliraient doucement du fond jusqu’au bord et ça serait comme ça tout le temps…
Olga Mathey, cargocollective.com/olgamathey, Anatomie, extrait

Space Ipsum

Space Ipsum, by Laurent Laporte, intérieur livre ouvert

Brochure du photographe Laurent Laporte. Cette piqûre de 64 pages reliée en couture Singer au pli reproduit sa série Space Ipsum : 26 photographies noir & blanc accompagnés de textes en anglais. Space Ipsum est désigné par le graphiste et directeur artistique Pierre Vanni.

 

In 2011, the NASA has created a new online tool to generate filler text based on a database of historical space quotes.

 

Basé à Paris, le photographe Laurent Laporte a été publié dans plusieurs revues et publications en ligne, comme Somewhere Magazine, Archive Collective, Yet Magazine, C41, Selectism, Fisheye, Paper Journal, Another Something, Splash and Grab Jrnl
Il a aussi contribué à illustré plusieurs publications comme le journal Le Monde, One Year for Paris 2017, Kennedy Magazine

Contes Blancs

Contes Blancs, Jules Lecomte, Blanche Odin, Musée Salies Bagnères-de-Bigorre, intérieur livre ouvert

 

Cette édition des Contes Blancs de Jules Lemaitre a été réalisée à l’occasion des soixante ans de la mort de Blanche Odin par le Musée Salies de Bagnères de Bigorre qui consacre une exposition de l’artiste du 17 mai au 29 octobre 2017 : Hommage aux soixante ans de la mort de Blanche Odin. Elle reprend une édition de 1900 spécialement publiée par Octave Uzenne pour les Bibliophiles indépendants, tirée pour les souscripteurs à 200 exemplaires, et comprenant 69 compositions aquarellées et vignettes de Blanche Odin. Cette édition n’avait jamais été réimprimée.

 

Blanche Odin (1865-1957) est une aquarelliste française célèbre pour ses représentations de bouquets de rose. Élève de l’aquarelliste Madeleine Lemaire à Paris, à une époque où l’école des beaux-arts est fermée aux femmes, elle ouvre en 1902 à Paris un atelier au 21 rue du Vieux Colombier qui connait un grand succès. En 1934, elle décide de s’installer à Bagnères-de-Bigorre, et fait don en 1938 de quarante-huit aquarelles au musée Salies. Elle est aujourd’hui reconnue comme une des plus grandes aquarellistes de sa génération.

 

Jules Lemaitre, écrivain, historien, élu à l’Académie française en 1895, auteur des Contes Blancs, achevés d’imprimer le 10 avril 1900, demanda à Blanche Odin d’illustrer son livre à l’occasion d’une édition spéciale pour les Bibliophiles indépendants.

L’art & ses objets

L'art & ses objets, La Galerie Épisodique, intérieur livre ouvert

Catalogue de l’exposition collective autour de L’art & ses objets, cycle décliné en sept volets d’octobre 2016 à juin 2017 à la Galerie épisodique, 1 rue des Nanettes, Paris onzième. A partir de la question « Qu’est-ce qui fait art? », Gaya Goldcymer et Jonathan Taieb ont organisé la réflexion autour de sept notions : Choséité, L’I’m-matériel, L’Urbain, La Trame, Fusion/Effusion, L’Actuel, A l’aveugle ; réunissant les œuvres de plus d’une soixantaine d’artistes contemporains.

 

L’Art & ses Objets s’est donc imposé à nous. Avec évidence Avec intensité. Naturellement. Ou presque.
Nous avons donc essayé de débusquer le pourquoi de cette pérennité tout en essayant d’en trouver le comment en posant cet axe – l’art & ses objets – comme base de notre démarche et de nos interrogations.
Nous avons cherché à faire apparaitre la manière dont les artistes, aujourd’hui maintenant, se mettent en marche, en pensée, en travail et en production avec, en tête, dans l’inconscient collectif, ces gestes fondateurs du Bauhaus et de DaDa.
Gaya Goldcymer, Extrait de l’Introduction.

Une Forme olympique / Sur l’art, le sport, le jeu

Une Forme olympique / Sur l'art, le sport, le jeu - Espace d'art contemporain HEC - intérieur livre ouvertUne Forme olympique / Sur l'art, le sport, le jeu - Espace d'art contemporain HEC - intérieur livre ouvert

Cette publication du Centre d’art contemporain HEC s’articule en deux parties bien distinctes : d’une part le catalogue de l’exposition Une Forme olympique, et de l’autre un essai théorique intitulé Sur l’art, le sport, le jeu, accompagné d’entretiens d’artistes. L’ouvrage s’ouvre des deux côtés suivant que l’on lise l’un ou l’autre. L’exposition, conçue par son commissaire Jean-Marc Huitorel,  s’est tenue sur le campus de HEC à Jouay-en-Josas du 22 septembre 2016 au 24 février 2017.

L’exposition collective Une Forme Olympique présente les œuvres de Gérard Deschamps, documentation céline duval, Dominique Petitgand, Éric Giraudet de Boudemange, Yoan Sorin, Hervé Beurel, Roderick Buchanan, Édith Dekyndt, Massimo Furlan, Taro Izumi, Nøne Futbol Club, Thomas Wattebled. Les photographies sont de Stéphane Ruchaud.

 

L’Espace d’art contemporain HEC a été créé en 1999 à l’initiative de la direction générale du campus, sous l’impulsion de Paul Dini, ancien HEC. Lieu de rencontres et d’expérimentation, cet espace bénéficie d’une programmation annuelle proposant des cours, des conférences, des résidences d’artistes, des expositions, des publications. Un parcours d’art contemporain, Vestiges éphémères, jalonne le parc.

Myxomatoses

Myxomatoses, Jean Reverdy / Catherine Redelsperger / Natacha Sibelles, des filles normales, intérieur
Avec Myxomatoses, deuxième livre papier édité par DES FILLES NORMALES, Natacha Sibellas a composé un livre dont la simplicité dit sa complexité questionnante. Les textes de Catherine Redelsperger, micro essais et éco-fictions répondent aux dessins au scalpel de Jean Reverdy. Myxomatoses, au pluriel, pour dire les épidémies, les contagions, les catastrophes, de toutes catégories. Aussi une allégorie sur la vie et la mort, la prolifération et la régulation, et l’équilibre.

 

Le négatif fait partie du tableau. Il nous a faits aussi, humains, lapins, bactéries.
Vie et mort neutralisées en un même objet enfin fiable, enfin solide, qui contre le délitement du réel assurera la solidité intérieure. Parce qu’il nous faudra trouver le meilleur équilibre possible dans les compromis, l’art de demain sera celui de la composition.
Vincent Mignerot, extrait de la postface

 

Les dessins de Jean Reverdy présentés dans ce livre appartiennent à un ensemble appelé Exode. Ils sont de date récente et font partie d’un travail commencé dans les années 80, parallèlement à des recherches picturales plus abstraites.
Les écrits de Catherine Redelsperger habitent les steppes de l’imaginaire et l’abîme du réel, à la croisée de l’anticipation, de la poésie et de l’essai en résonance aux œuvres des peintres, photographes et performeurs.
Photographe, auteur d’œuvres multimédia, designer graphique, Natacha Sibellas privilégie la photographie en noir et blanc. Elle vit dans plusieurs sphères sans jamais les séparer.

Rachel Lumsden – Return of the Huntress

Catalogue Rachel Lumsden, Return ot the Huntress, 2014-2017, intérieur

Le catalogue Return of the Huntress 2014-2017 paraît à l’occasion des expositions Rachel Lumsden à la Fondation Fernet-Branca, Saint-Louis, France (du 19 mars au 21 mai 2017), au Centre d’Art Pasquart Bienne, Suisse (du 2 juillet au 3 septembre 2017) et au Kunst (Zeug) Haus Rapperswil-Jona, Suisse (de novembre 2017 à février 2018). Cette exposition personnelle, qui donne à voir le travail de ces dix dernières années de Rachel Lumsden, constitue la présentation la plus complète de ses peintures à ce jour.

 

Les peintures de Rachel Lumsden semblent directement liées au pouvoir des rêves et à leurs promesses intangibles. Avec leurs figures fantomatiques, leurs spectres de couleurs d’une grande richesse, leurs motifs turbulents et leurs intérieurs claustrophobes, ses peintures influent sur l’esprit avec une intensité semblable aux rêves inoubliables, offrant tout un réseau de connexions émotionnelles, dont la signification générale reste néanmoins cruellement inaccessible.
Charlotte Mullins – extrait de « Rachel Lumsden : Fission de l’atome »

 

Rachel Lumsden, artiste peintre suisse d’origine britannique, née à Newcastle en 1968, vit et travaille depuis 2002 en Suisse à Saint-Gall. Elle réalise des œuvres picturales de grand format, au minimum toujours aussi grandes qu’elle même.  Sa peinture se situe entre abstraction et figuration, matériel et imaginaire, souvent dans l’illusion. En plus de la peinture, Rachel Lumsden utilise également la photo et la vidéo.

 

 

Habiter la cour, actionnage n°11

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, intérieur

Habiter la cour, actionnage n°11 est le témoignage du partenariat entre Lizières, centre de cultures et de ressources, et le collège Jean Racine de Château-Thierry, dans le cadre d’un atelier artistique soutenu par le rectorat de l’académie d’Amiens, le conseil départemental de l’Aisne et la DRAC des Hauts de France. Habiter la cour est une œuvre proposée par les élèves, transformant cet espace du présent en un lieu d’agissement et de création : la cour est devenue à la fois support et matériau de l’œuvre. Ce beau livre propose de rendre compte de ce travail par des photos et des extraits d’entretien entre divers acteurs du projet : Ramuntcho Matta, artiste, Martine Schwebel, présidente des Amis de Lizières, les élèves de l’atelier artistique et Edouard Smith, enseignant en arts plastiques.

 

Le collège et la cour deviennent deux espaces publics auxquels les élèves sont confrontés. Quelles sont les relations qu’entretiennent les élèves à la cour et à l’autre : la cour est-elle habitée ? Habiter, ce n’est pas posséder l’endroit mais avant tout « se tenir », c’est une manière d’être. Et ici, c’est être avec les autres. Quelles sont ces habitudes liées à cet espace singulier du collège, où tout le monde se rassemble ? Comment un travail artistique, à l’issue des réflexions des élèves, pourra proposer de penser ce lieu autrement ?
Extrait du quatrième de couverture.


Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, couverture ouverteBrochure collée en onglet en plat III de couverture, à la Suisse

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, couvertureCouverture visible sous la sur-couverture

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, intérieur