Catalogues expos

Titre : "À mi-ombre - Photographies"

Auteur :  Jean-Yves Moirin

Éditeur :  Château d'eau - Château d'Art / Mairie de Bourges

Conception graphique :  Jean-Yves Moirin

Logistique et montage de l'exposition : Isabelle Moret-Faure et Philippe Moreux

Textes : Michel Pobeau et Jean-Yves Moirin, extrait de Lucrèce La nature des choses

Nombre de pages :  40

Tirage :  300

Façonnage :  format fini 21x25.4, couverture 4 pages, dos carré collé

Impression :
- Couverture :
  quadri recto/verso + pelliculage mat recto
- Intérieur :  quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché moderne demi-mat 350 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne demi-mat 170 g

Lien vers l’éditeur: www.ville-bourges.fr/site/chateau-eau
Lien vers l'auteur: http://jeanyvesmoirin.fr/

À mi-ombre – Photographies

Cet ouvrage a été édité à l’occasion de l’exposition « A mi-ombre » de Jean-Yves Moirin, présentée au Château d’eau – Château d’Art de Bourges du 30 janvier au 13 mars 2016. « À mi-ombre » est une proposition d’images photographiques où le réel est plus étrange, plus beau, plus irréaliste face aux images conventionnelles et sans surprise qu’on cherche à nous imposer. C’est un parti pris délibéré pour le rêve et la poésie.

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Descriptif : cet ouvrage a été édité à l’occasion de l’exposition « A mi-ombre » de Jean-Yves Moirin, présentée au Château d’eau – Château d’Art de Bourges du 30 janvier au 13 mars 2016. « À mi-ombre » est une proposition d’images photographiques où le réel est plus étrange, plus beau, plus irréaliste face aux images conventionnelles et sans surprise qu’on cherche à nous imposer. C’est un parti pris délibéré pour le rêve et la poésie.

 

« Le temps mange le temps » dira Jean-Yves Moirin pour habiller/déshabiller le regard de l’autre, sentinelle qui passe devant la photo d’une œuvre devenue pour le meilleur et pour le pire. Mais quelle beauté insistante, dérangeante et marquant le regard d’une empreinte indélébile. J’en veux pour preuve ces draps d’architecture paladins que j’ai cru voir dans l’ombre de leurs plis complices pour cacher/révéler le message de l’artiste. Dans subliminal il y a sublime et dans sublime il n’y a plus le temps qui passe, éreinté qu’il est par le geste « chronophage » de la mémoire. « Où est-ce que j’ai déjà vu ça ? ». Nulle part ailleurs que dans le présent de notre relation, nous dit-il en souriant du bon coup qu’il vient de nous faire du coin de son oeil. Merci Monsieur Jean-Yves Moirin pour cet instantané d’éternité. Monsieur MOIRIN quel joli nom pour un Maître des jardins d’âmes.

– Michel Pobeau, extrait de la préface.

Né en 1948,  Jean-Yves Moirin réside et travaille à proximité de Bourges. Après une activité essentiellement orientée vers la peinture et le dessin, il se consacre depuis plusieurs années à l’image photographique. Ses séries photographiques sont, dans un contexte contemporain, autant d’investigations relatives au médium photographique qu’à l’image vue au travers du prisme de l’histoire de l’art occidental.