Livres

Titre : "Aigues-Mortes par ses photographes"

Auteur : Collectif

ISBN : 978-2-9561662-1-4

Éditeur : Association Regards d'Aigues-Mortes

Direction artistique : Thierry Secretan

Equipe éditoriale :Patrice Banq, Philippe Blaisz, Alberto Garcia, Isabelle Secretan

Les photographes : Eric Beaumer, Thierry Secretan, René Aujoulat, Patrice Banq, Jean-Louis Baudequin, Gudrun Bauer, Bernard Billet, Philippe Blaise, Virginie Burgos, Christian Cau, Jean Foures, Alberto Garcia, Bruno Lahousse, Serge Manse, Françoise Martin, Françoise Pichon, Isabelle Secretan, Michèle de Souza, Nathalie Stickelbaut, Alain Vielle.

Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en

Nombre de pages : 72

Façonnage : format 12,5 x 19 cm à la française, couverture 4 pages, intérieur 6 cahiers de 12 pages, dos carré cousu

Impression :
- Couverture :
Bichromie (noir + gris), pelliculage brillant recto
- Intérieur : Bichromie (noir + gris)

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur Invercote G blanc 240 g
- Intérieur : imprimé sur Condat Matt Périgord (main 1,04) 150 g

Aigues-Mortes par ses photographes, Édition Regards d’Aigues-Mortes


Aigues-Mortes par ses photographes, Editions Regards d'Aigues-Mortes, intérieur

Aigues-Mortes par ses photographes est un album de poche édité par l’association Regards d’Aigues-Mortes présentant 60 cliché noir et blanc pris par 20 photographes. Les 20 photographies illustrent les lieux emblématiques, les traditions et l’art de vivre  à Aigues-Mortes, cette ville emblématique de la Camargue gardoise. Le petit livre est une reliure souple de 72 pages à la française, imprimé en offset HR-UV, trame fine 240, en bichromie noir + gris. La couverture est imprimée sur un papier Invercote G blanc de 240 g/m² et l’intérieur sur papier Condat Matt Périgord 150 g/m².

 

La vie était rude pour les ouvriers des salins, les pêcheurs, les gardians et les agriculteurs, dans ces plaines marécageuses délaissées par le Rhône, qu’on atteignait par la chaussée de la Tour Carbonnière et qu’on parcourait à cheval ou en barquet. Le Fort de Peccais gardait l’ancienne voie du sel et des échanges vers le Rhône. Le sable y a sauvé la vigne du phylloxera. Les traditions perdurent. Après vendange et récolte du sel, la fête d’octobre s’ancre toujours chaque année au pied des remparts, plein sud.

Aigues-Mortes se nourrit de cette histoire, de cette nature, de ces vies. La lumière que nous tentons de capturer lui donne sa force, sa douceur et son caractère.

Isabelle Secretan et Françoise Martin, fondatrices de l’association Regards d’Aigues-Mortes, extrait du livre