Beaux livres

Titre : "BarOcus Dreyfus - un voyage au centre de l'ego"

Auteur : Claire & Philippe Ordioni

ISBN : 978-2-492017-09-4

Éditeur : Photo#graphie

Photographies : Claire Ordioni, Philippe Ordioni

Illustrations : Rodia Bayginot

Préface : ORLAN

Postface :  Jean-Claude Dreyfus

Textes : Claire Ordioni, Philippe Ordioni

Maquette : Marc Chostakoff

Achevé d'imprimer en juin 2022

Nombre de pages : 112

Façonnage : format 16,6 x 24 cm à la française, reliure cartonnée, dos rond, tranchefile noir, couverture cartonnée, habillage papier rembordé sur carton 30/10, intérieur 7 cahier de 16 pages, gardes vierges rapportées

Impression :
- Couverture :
quadri recto, pelliculage satin recto
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché demi-mat 150 g
- Gardes rapportées : Sirio Color noir 170 g
- Intérieur : imprimé sur Gardapat 13 Kiara 115 g

BarOcus Dreyfus – Un voyage au centre de l’ego – Photo#graphie

BarOcus Dreyfus - Un voyage au centre de l'ego - Photo#graphie - Claire & Philippe Ordioni - Photo#graphie
BarOcus Dreyfus - Un voyage au centre de l'ego - Photo#graphie - Claire & Philippe Ordioni, - Photo#graphie

BarOcus DreyfusUn voyage au centre de l’ego est un conte poétique imaginé par le duo formé par Claire et Philippe Ordioni, créateurs de leur propre univers barOque, racontant la quête d’identité d’un personnage dissocié joué par l’acteur Jean-Claude Dreyfus.  Édité par l’association Photo#graphie, et financé grâce à une campagne de crowdfunding sur KissKissBankBank, le livre est préfacé par l’artiste ORLAN, plasticienne transmédia et féministe française, et postfacé par l’acteur lui-même. Les illustrations de la plasticienne Rodia Bayginot viennent rajouter une dimension de merveilleux à l’univers des Ordioni (fille et père). L’ouvrage est une reliure cartonnée de 112 pages au format à la française, imprimé en offset HR-UV, trame fine 240, en quadrichromie sur papier Gardapat 13 Kiara 115 g/m².

 

Les Ordioni ont réussi à rendre mes âmes tangibles, leur donner une transparence que parfois j’ignorais moi-même, ne pouvant pas l’admettre, souffrant d’amnésie découverte pas à pas grâce aux subtiles imaginations de ces quatre yeux persans, perçant l’être là où ça ressemble à cette effectivement première visite enfantine, celle-ci que je garderai jusqu’au plus soif de ma vie… Merci.

Jean-Claude Dreyfus, extrait de la postface