Catalogues expos

Titre : "3e Biennale de la Photographie 2021 - « Portraits et Autoportraits »"

Sous-titre : "Hommage à Laure Albin Guillot"

Auteur : Collectif / Biennale de la Photographie

ISBN : 978-2-9579912-0-3

Éditeur : Mairie du 13e arrondissement de Paris

Mise en page : Gérard Mazet

Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en

Nombre de pages : 140

Façonnage : format 21 x 29,7 cm à la française, couverture 4 pages, intérieur 8 cahiers de 16 pages + 1 cahier de 12 pages, dos carré cousu

Impression :
- Couverture :
quadri recto, pelliculage mat recto
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché moderne demi-mat 350 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne demi-mat 150 g

3e Biennale de la Photographie 2021 « Portraits et Autoportraits »

Catalogue d'exposition 3e Biennale de la Photographie 2021, « Portraits et Autoportraits », Hommage à Laure Albin Guillot, Mairie Paris 13, intérieur

Catalogue d'exposition 3e Biennale de la Photographie 2021, « Portraits et Autoportraits », Hommage à Laure Albin Guillot, Mairie Paris 13, intérieur

Catalogue d’exposition de la 3e Biennale de la Photographie 2021 qui a eu lieu du 3 au 23 septembre 2021 à la Mairie du 13ème arrondissement de Paris. L’édition 2021 avait pour thème « Portraits et Autoportraits », contrepied au masque obligatoire, et avait pour principaux invités les photographes Roberto Frankenberg, Serge Picard et Flore-Aël Surun. La 3ème Biennale a également été l’occasion de rendre un Hommage à Laure Albin Guillot (1879-1962), photographe française pionnière de l’entre-deux guerres, portraitiste spécialiste de la photo de mode, du nu, de la publicité et de la photo abstraite.

Le catalogue est une reliure souple, dos carré collé cousu, au format à la française de 140 pages, imprimée en offset HR-UV, trame fine, sur papier couché moderne demi-mat.

 

La volonté de représenter une personne est consubstantielle à l’histoire même de la photographie. Depuis l’invention du daguerréotype, à la fin des années 1830, l’art du portrait et de l’autoportrait photographiques s’est vite répandu pour rester un usage constant qui se prolonge dans la pratique contemporaine du selfie. Mais le portrait ne se limite pas à la simple et fidèle reproduction d’un visage. Il questionne les identités, les émotions, les situations, les relations… Portraits singuliers, symboliques, imaginaires, voire antiportraits, les variations sont infinies : en buste, en pied, de face, de profil, de trois-quarts, assis ou debout, individuel ou de groupe, ils jouent des distances entre photographe et modèle, des angles, des points de vue et des regards.

Extrait de l’appel à candidature, quatrième de couverture