Catalogues expos

Titre :  Jean Marie Périer - Catalogue Maison de la Photo de Villeneuve d'Aveyron"

Auteurs :  Jean Marie Périer

ISBN :  978-2-9556212-0-2

Préface :  Patrick Modiano

Nombre de pages :  200

Tirage :  5000

Façonnage : format carré 15,80 x 15,80, couverture 4 pages, dos carré collé

Impression :
- Couverture :
  quadri recto + pelliculage mat recto
- Intérieur :  quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché moderne mat 300 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne mat 150 g

Jean Marie Périer – Catalogue Maison de la Photo de Villeneuve d’Aveyron

Catalogue de La Maison de la Photo de Villeneuve d’Aveyron qui présente l’exposition permanente Jean-Marie Périer : plus de 180 tirages originaux des années 60 et 70, commentés par l’auteur, sur un espace de 7 salles entièrement dédiées à la photo. Le photographe Jean-Marie Périer possède une maison sur le causse de Villeneuve d’Aveyron, et apprécie l’authenticité des paysages et des gens qu’il y rencontre

Jean-Marie Périer, interieur

Descriptif : catalogue de La Maison de la Photo de Villeneuve d’Aveyron qui présente l’exposition permanente Jean-Marie Périer : plus de 180 tirages originaux des années 60 et 70, commentés par l’auteur, sur un espace de 7 salles entièrement dédiées à la photo. Le photographe Jean-Marie Périer possède une maison sur le causse de Villeneuve d’Aveyron, et apprécie l’authenticité des paysages et des gens qu’il y rencontre. Il était naturel qu’il ait l’idée d’exposer ses clichés signés dans un bâtiment comme celui de la Maison dite du Maselier, laissée vide par la fermeture du Musée. C’est un paradoxe qui ne manque pas de charme de voir ainsi les photographies de Jean-Marie Périer, témoin privilégié de l’histoire des Trente Glorieuses et de ses stars, dans le bel espace de cet immeuble du 13 et 14 ème siècle !

 

D’un simple déclic, par une simple intuition, Jean-Marie Périer fixe le rêve pour toujours. Il avait l’œil. Tous ces garçons et ces filles n’étaient pas des enfants des beaux quartiers. C’est le boulevard de l’Indochine, square des Épinettes ou de la Trinité, dans les banlieues de Londres ou de Liverpool qu’ils imaginaient leurs Amériques et se préparaient à monter sur scène pour faire partager leurs rêves. Et à ce moment-là, un autre artiste a su capter leurs regards et leurs visages.
– Patrick Modiano, extrait de la préface.

 

Ensuite, une photo doit-être publiée. Car la chose est injuste, vous n’imaginez pas la différence entre une image qui traîne sur votre bureau et la même en double page dans un journal. Elle prend tout à coup une dimension, une valeur qui n’a finalement pas grand chose à voir avec sa qualité première. Encore une chance supplémentaire, puisque je n’ai pas le souvenir d’une de mes photos n’ait pas été publiée.
– Jean-Marie Périer, extrait de l’introduction.

Né en 1940, Jean-Marie Périer a seize ans lorsque Daniel Filipacchi le prend comme assistant et lui fait faire ses premières photographies pour Jazz Magazine. A son retour de l’armée, il choisit la couleur pour ses photographies – son futur sceau et le symbole d’une époque « pop » en mouvement.
Jean-Marie Périer a un secret de photographe : ne pas rester derrière l’objectif. Sa sympathie et sa patience ont fait de lui le compagnon de route des célébrités, le copain de la bande. A la table de Keith Richards, au pied de l’avion de James Brown, dans le salon des Beatles, aux côtés de Johnny, Sylvie ou Françoise, Jean-Marie Périer est présent. Il s’amuse, observe et fait des photos.
L’oeuvre photographique de Jean-Marie Périer, véritable patrimoine de la scène artistique mondiale, retrace l’ascension des légendes du rock’n’roll ainsi que celle de la jeune génération française des années 60. Témoin privilégié d’une société en pleine mutation, le photographe était une évidence. Un droit. « Autrefois, rien n’était sérieux, tout était possible, comment voulez-vous uq je ne soit pas nostalgique ?»
– Quatrième de couverture.