Beaux livres

Titre : "De l'an mil à 2022 - Photographies de spectacle"

Auteur : Philippe Frétault

Éditeur : autoédition

Photographies et textes : Philippe Frétault

Photographies complémentaires : Jacques Postel, Claire Frétault, Nicolas Ferru, Michaël Xerri, Collection privée Rembert Egues

Achevé d'imprimer en octobre 2023

Nombre de pages : 176

Format : 24 x 32 cm à la française

Impression :
- Couverture :
Marquage à chaud P1 et dos
- Jaquette à rabats :  quadri recto, pelliculage Soft Touch recto
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
marquée sur Toile du Marais Cerise
- Jaquette à rabats : imprimées sur couché demi-mat 150 g
- Gardes rapportées : offset blanc 170 g
- Intérieur : imprimé sur Munken Print White 150 g

Façonnage : Reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé, rainage et pose de la jaquette

De l’an mil à 2022, photographies de spectacles – Philippe Frétault

De l'an mil à 2022, photographies de spectacles, Philippe Frétault
De l'an mil à 2022, photographies de spectacles, Philippe Frétault

De l’an mil à 2022, photographies de spectacles – Philippe Frétault – Beau livre consacré aux photographies de spectacles de Philippe Frétault, de ses débuts à aujourd’hui, du Bercy 89 de Michel Sardou où le photographe prends ses premiers clichés à l’âge de 17 ans aux concerts de Cloudy Heads, groupe de rock franco-britannique dont le batteur est son fils Clément. Théâtre, danse, chanson, musique sont le terrain de jeu de Philippe Frétault, également photographe de l’équipe de France de Water Polo. L’ouvrage est un beau livre imposant de 176 pages au format à la française, imprimé en quadrichromie, encres HR-UV trame fine, sur papier Munken Print White. La couverture habillée de Toile du Marais sur laquelle le titre est marqué à chaud est recouverte d’une jaquette imprimée en quadrichromie sur couché demi-mat avec une finition en pelliculage Soft Touch.

 

C’est finalement une entreprise prétentieuse que de consacrer un livre à ce que l’on fait. Cela suppose que son travail suscite suffisamment d’intérêt pour les autres. Il y a là quelque chose d’impudique, un manque d’humilité.
Pourtant, au fil du temps, j’ai pensé qu’il serait bien de faire quelque chose de toutes ces photos entassées sur des disques durs. Certaines avaient déjà leur histoire, trônant sur une affiche, un programme ou dans un article de presse. Mises en valeur isolément à un moment ou à un autre, c’était oublier celles qui les avaient précédées ou qui leur succèderont, alors qu’elles formaient en réalité un ensemble, un tout.
Si une photo raconte une histoire, il fallait aussi une histoire pour raconter ces photos.

Philippe Frétault, extrait du livre