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Graphiline – Verbatim – Les raisons de la mauvaise réputation de l’impression numérique

Paru dans Graphiline, le quotidien des Arts Graphiques, le mercredi 16 septembre 2015. Article rédigé par Faustine Loison :

Graphiline – Verbatim – Les raisons de la mauvaise réputation de l’impression numérique

Alain Escourbiac, directeur commercial de l’imprimerie Escourbiac spécialisée dans les éditions luxueuses, explique selon lui l’origine de l’opposition – qui tend à disparaître – entre le numérique et l’offset.

« Au départ, le numérique a eu mauvaise réputation à cause d’une technologie non aboutie, qui ne permettait pas une haute qualité d’impression.

Mais cette mauvaise image vient également du fait que certains imprimeurs sont devenus imprimeurs numériques sans avoir fait ce métier-là auparavant, sans être passé par l’impression traditionnelle, et donc sans avoir l’expérience et la culture du papier… Le grain, la matière, le sens des fibres, quand on plie, quand on façonne…

Tout ce qui est expérience et culture du papier est important dans ce métier. »