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Julien Coquentin & Stanley Leroux lauréats des Zooms 2016

Depuis 7 ans, le Salon de la Photo de Paris récompense deux photographes « émergents « , vrais coup de cœur pour des talents encore peu ou pas assez connus, en attribuant le Zoom du Public et le Zoom de la Presse Photo.

Le Zoom du Public est élu grâce à un vote organisé sur le site web du Salon et ouvert au public.

Le Zoom de la Presse est lui octroyé par un jury de 9 rédacteurs en chef ou directeurs de magazines photo (Compétence Photo, De l’Air, Fisheye, Focus Numérique, Polka Magazine, Réponses Photo, Photographie.com, Le monde de la Photo et Photo). Le choix se fait à partir d’une liste de 9 noms désignés par chacun des représentants de la presse.

Les lauréats des Zooms 2016 du Salon de la Photo

 

Les Zooms 2016 du Salon de la Photo de Paris sont Julien Coquentin pour la Presse, et Stanley Leroux pour le public. Deux photographes qui ont comme autre point commun d’avoir imprimé leurs derniers livres chez Escourbiac l’imprimeur !

Julien Coquentin est né en 1976. Infirmier et photographe, il est l’auteur de deux ouvrages parus aux éditions Lamaindonne : « Tôt un dimanche matin » (2013) et « 8 jours à New York (2014). Sa dernière série intitulée « Saisons Noires » vient d’être publiée à l’occasion de l’exposition éponyme au musée de La Roche-Sur-Yon.

Son travail, remarqué lors de la réalisation d’un journal photographique composé au grès des rues de la ville de Montréal, a été exposé durant 6 mois à Paris et à Boulogne-Billancourt. Il exposera son travail sur Montréal et celui sur New-York pour le festival America en septembre 2014. S’intéressant eux problématiques de la déforestation et des droits autochtones, il a réalisé « Green Wall » en novembre 2012 en Malaisie, pays dans lequel il a passé plusieurs mois.

Aujourd’hui, Julien vit avec sa compagne et ses deux enfants en France, dans l’Aveyron.

Saisons Noires, Julien Coquentin, éditions Lamaindonne

Photographe professionnel de 31 ans, Stanley Leroux parcourt le monde des théâtres d’opération bien différents. L’été, il photographie des compétitions de sports mécaniques, notamment pour le compte d’un grand constructeur moto. L’hiver, il voyage en solitaire dans des contrées éloignées, où il pratique une photographie animalière et de nature spectaculaire et poétique, contemplative et créative.

Également graphiste et rompu aux techniques numériques, Stanley Leroux est aussi un artiste complet. Il s’est ainsi donné les moyens d’une pleine indépendance en créant sa propre maison d’édition, Stellar, à travers laquelle il publie non seulement ses travaux, mais aussi de confrères qui partagent son approche de la photo.

Son dernier livre « Iles Falkland, la dernière frontière » est le résultat de multiples séjours en solitaires, répartis sur quatre ans, dans l’archipel des Falkland (aussi appelé Malouines), pendant lesquels Stanley Leroux a vécu au rythme ses hôtes à plumes, en quête d’authenticité sur leur territoire sauvage.

Iles Falkland