Catalogues expos

Titre : "Desaymard"

Auteur, conception : Luc Saint-James

Réalisation graphique : Yves Bonduelle

Photographies : Daniel Pype, Hevré Véronèse

Mannequin : Isabelle Ang, Eva Harris

Témoignages : Arnaldo Calvayra, Sylvie Chokron, Michel David, Jean Eisenstaedt, Christian Petrogalli, Alain Pucci, Luc Saint-James, Clara Schulmann, Fanny Schulmann, Lola Schulmann

Achevé d'imprimer sur les presses d'Escourbiac (81, Graulhet) en octobre 2020

Nombre de pages : 72

Façonnage : format carré 22 x 22 cm, habillage de couverture rembordé sur carton 24/10, intérieur 6 cahiers de 12 pages, gardes vierges rapportées 2 x 4 pages, reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé

Impression :
- Couverture :
quadri recto, pelliculage brillant recto
- Intérieur : quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché moderne demi-mat 150 g
- Gardes rapportées : offset blanc 140 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne demi-mat 170 g

Marie-Christine Desaymard par Luc Saint-James

Desaymard, Catalogue, Luc Saint-James, intérieur
Ce catalogue est consacré à l’artiste Marie-Christine Desaymard par son mari Luc Saint-James, musicien pianiste de jazz et compositeur. L’artiste est décédée à Paris en 2019. Artiste, chercheuse, animatrice de l’Atelier des enfants du Centre Georges Pompidou, conférencière, co-commissaire d’expositions, Marie était une passionnée de la création contemporaine. Le catalogue détaille ses œuvres dans six chapitres, accompagnés chacun de témoignages émouvants : Dessins, Encadrement, Miroirs, Objets d’Art, Bijoux et Peintures. Le beau livre est une reliure cartonnée de 72 pages, cahiers cousus, couverture imprimée en numérique avec pelliculage brillant, et intérieur imprimé en offset HR-UV, le tout en quadrichromie.

 

D’une grande exigence intellectuelle, se souciant peu du commerce de ses œuvres malgré les prières d’une poignée de fidèles collectionneurs, elle sera au Centre Pompidou dès sa création, à l’atelier des Enfants, puis dans les Collections, une de ses plus flamboyantes animatrices. Son « œil absolu » (comme on dit, pour les musiciens, l’oreille absolue), sa mémoire inépuisable trouvaient des correspondances inattendues, des rapprochements inédits, des analyses étonnantes, qu’elle défendait avec une fougue joyeuse et communicative.

Puisse ce livre, qui ne montre qu’une faible partie de son oeuvre, l’inscrire un peu dans une histoire de l’art qu’elle aura servie avec rigueur et amour auprès de centaines d’auditeurs et d’élèves, captivés par sa pédagogie limpide, son élégance et son immense savoir.

Luc Saint-James, extrait du livre, page 5