Catalogues expos

Titre : "Nous sommes tous des paysages"

Auteur :  Maria Letizia Piantoni

Éditeur :  CLEA / Colombes

Graphiste / Studio :  Clara Brizard

Nombre de pages :  144

Tirage :  600

Façonnage :  format fini 19 x 25 à la française, embossage sur plat 1 de couverture + collage d'un adhésif, intérieur 144 pages (7x16 + 1x8 pages + 2 cahiers composés de 4 pages + dépliants 4 volets plis portefeuille, encadrés), reliure dos carré collé, fil blanc   

Impression :
- Couverture :
  noir recto seul,
- Cuvette :  quadri recto sur 1/2 mat
- Intérieur :  quadri recto/verso

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur carton gris 400 g
- Intérieur : imprimé sur couché moderne mat 150 g

Nous sommes tous des paysages

Ce beau livre présente le travail réalisé en résidence-mission  à Colombes par l’artiste photographe Maria Letizia Piantoni avec les habitants de novembre 2014 à avril 2015. Le dispositif CLEA (Contrat Local d’Éducation Artistique) s’appuie sur deux résidences d’artistes présents chacun à Colombes durant quatre mois.

Nous sommes tous des paysages, intérieur

Descriptif : ce beau livre présente le travail réalisé en résidence-mission  à Colombes par l’artiste photographe Maria Letizia Piantoni avec les habitants de novembre 2014 à avril 2015. Le dispositif CLEA (Contrat Local d’Éducation Artistique) s’appuie sur deux résidences d’artistes présents chacun à Colombes durant quatre mois. Chaque année depuis 2011 la ville accueille un photographe et un écrivain. Pour chaque résidence, l’artiste sélectionné consacre un mois à créer des liens avec la ville et ses habitants, puis trois autres mois à réaliser des actions avec les partenaires impliqués dans la démarche.Exceptionnellement, cette année, Maria Letizia Piantoni, seule artiste en résidence, a été accueillie pendant six mois.

Avec le projet Nous sommes tous des paysages, la photographe Maria Letizia Piantoni a voulu montrer une Colombes mosaïque et plurielle. Elle a sollicité des écoles, des collèges, des services municipaux, mais aussi des associations socio-culturelles et l’hôpital Louis Mourier pour questionner l’être dans son rapport à l’espace et l’image de soi.

Les outils, les moyens : un espace reconstitué (un photomaton géant de 2 m sur 2 m, des panneaux modulables…) ou revisité, des volumes pour habiter l’espace en question (déchets divers, cartons, objets détournés ou fabriqués, objets choisis, maquettes, marionnettes…), la photographie comme médium, et aussi l’écriture, la danse, le théâtre, etc.

Les actions en public, instants éphémères, partaient du désir de faire tourner ce studio itinérant, en osant s’aventurer, jouer avec une esthétique des postures, jouer avec soi. En lien avec un questionnement sur le rôle social de la photographie qui m’est propre depuis plus de deux ans, ces instants correspondaient à des micro-évènements autour du « vivre ensemble ». La photographie entre là dans une dynamique d’échange et de communication. Se prêter à la photographie c’est accorder sa présence.
– Maria Letizia Piantoni