Revues
Titre : "Revue EPIC n°13 Hiver 2024"
Auteur : Revue EPiC
ISBN : 978-2-492630-13-2
Éditeur : Éditions Oblique
Directeur de la publication : Ambroise Touvet
Rédacteur en chef & Directeur artistique : Jean-Matthieu Gautier
Maquette : Agence Oblique
Directrice des opérations : Eléonore Simon
Chronique : Marine de Tily
Journalistes : Agathe Kalfas, Cloé Kerhoas Ozmen, Éléonore Simon
Coordination des pages "Canavas" : Cédric Roux
Comité Éditorial : Simon Danger, Camille Gajate, Agathe Kalfas, Cloé Kerhoas Ozmen, Maxime Riché, Cédric Roux
Contributeurs : Maxime Michelet, Gabrielle Duplantier, Marguerite Bornhauser, Arthur Mercier
Achevé d'imprimer en janvier 2024
Nombre de pages : 176
Format : 19 x 27 cm,
Impression :
- Couverture : quadri recto/verso, pelliculage mat recto
- Intérieur : quadri recto/verso
Types de papiers utilisés :
- Couverture : imprimée sur Condat mat 300 g
- Intérieur : imprimé sur Condat mat 115 g
Façonnage : dos carré cousu, couture apparente, fil couleur, plats de couverture avant / arrière 2 x 4 pages
Revue EPIC n°13 Hiver 2024
Revue EPIC n°13 Hiver 2024 – Treizième numéro de la revue EPIC « Média lent – Images Larges » éditée par l’Agence Oblique. Les reportages de ce numéro sont signés Maxime Michelet (Mes soeurs et mes frères, l’intime des relations entre frères et soeurs), Gabrielle Duplantier (La source, une série hors du temps en noir & blanc), Marguerite Bornhauser (When black is burned, série poétique de formes et de matières) et Arthur Mercier (Zones blanches, reportage sur « électrohypersensibles » vivant en zones blanches). La revue se termine sur deux articles sur la romancière Julie Héraclès (inventer ce qui reste, sur une photo célèbre de Robert Capa sur la tondue de Chartres) et le photographe américain Joel Meyerowitz (Photographe hors-cadre).
Voilà désormais trois ans que le revue EPIC existe. Trois ans que nous répétons à l’envie vouloir vous proposer à lire, tous les trois mois, une revue pour raconter ler monde en images, pour le comprendre mieux et l’aimer davantage…
C’est un joli programme sur le papier non ? C’est aussi une question d’expérience. A force de parcourir le monde, en image ou en vrai, les journalistes, concepteurs ou rapporteurs d’histoires que nous sommes, savons ce qui – en grande partie – délie le monde : la méconnaissance de l’autre dans laquelle chacun se tient ou se complaît, par choix ou impossibilité.
Voilà pourquoi il nous semble essentiel de toujours plus chercher à se lire les uns les autres, se lire intimement, car lire l’autre, c’est déjà au moins chercher à la comprendre. Or nous vivons dans un monde où le temps et la géographie font se distrordre les liens qui nous unissent originellement.
– Jean-Matthieur Gautier – Ambroise Touvet, extrait de l’édito.