Beaux livres

Titre : "Sombre Insomnie"

Auteur : Loïc Casanova

ISBN : 979-10-699-4375-9

Auto-édition

Nombre de pages : 60

Façonnage : format carré 21 x 21 cm, habillage de couverture rembordé sur carton 24/10, gardes vierges rapportées 2 x 4 pages, reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé, tranchefile noire tête et pied

Impression :
- Couverture :
bichromie noir (noir + gris froid) + pelliculage mat anti-rayure recto
- Intérieur : bichromie noir (noir + gris froid) recto/verso + trame 240

Types de papiers utilisés :
- Couverture :
imprimée sur couché demi-mat 150 g
- Gardes rapportées : Sirio Nero 170 g (offset noir teinté dans la masse)
- Intérieur : imprimé sur Symbol Tatami White blanc 170 g

Sombre Insomnie Loïc Casanova

Sombre Insomnie, Loïc Casanova, intérieur

Sombre Insomnie, Loïc Casanova, intérieur

Avec Sombre Insomnie, l’artiste photographe Loïc Casanova met en scène sa série de vingt photos nocturnes prises dans le centre historique de sa ville natale, Montpellier en imaginant une histoire d’enquête sur un meurtrier en série. L’affaire interminable du ‘tueur de l’Écusson » est suivie par le jeune inspecteur Louis Maisonneuve. Le beau livre cartonné de 60 pages est imprimé en bichromie noir + gris froid sur papier couché bouffant demi-mat Symbol Tatami White de Fedrigoni.

 

Avec cette nouvelle série de photos, j’ai commencé à réfléchir à une idée originale pour pouvoir la présenter. J’aimais assez l’idée de créer une performance artistique lors d’un évènement où le public serait présent pour connaître la fin de l’histoire. Dès lors, ce projet n’a cessé de germer dans mon esprit. A la suite de cette réflexion, et dans une certaine logique, la réalisation d’un livre « d’art et de fiction » s’est imposée pour concrétiser une œuvre aboutie.
Loïc Casanova, extrait de la préface

 

Je m’appelle Louis Maisonneuve, j’étais inspecteur au commissariat de Montpellier, en charge de la sordide affaire du « tueur de l’Écusson » durant cet hiver particulièrement froid. Tout a commencé alors que je venais de fêter mes 25 ans. Je résidais dans un petit appartement de la rue Becquerel dans le 18ème arrondissement de Paris. Issu d’une famille de policiers de père en fils, j’ai embrassé la profession sans me poser de question. Mon rêve c’était plutôt la vie d’artiste, peindre, écrire, offrir quelque chose de créatif, laisser une trace dans ce monde.
Extrait du livre, page 5