Effleurements

Effleurements, Carole Reboul, intérieur
Effleurements représente deux ans du travail en macro de Carole Reboul, deux ans sur le terrain à partir à la recherche des fleurs qu’elle aime, à marcher dans la nature, à être tapie dans l’herbe avant que le soleil ne se lève, à savourer les crépuscules en lisière de forêt. Ce livre est là pour montrer à quel point les fleurs nous sont indispendables, notamment pour cette beauté qu’elles nous apportent. Simplement, sans contrepartie.

Le beau livre photo de Carole Reboul a été édité grâce à une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank.

 

Parler aux fleurs. Se mettre à leur hauteur, en toute humilité, pour faire leur portrait. S’émerveiller d’un rai de lumière, d’un reflet, d’une délicate goutte d’eau posée sur leurs pétales. Carole Reboul, par son travail remarquable de finesse capture cette expérience éphémère pour la transmettre à l’éternité. Elle nous invite à nous arrêter dans la course des jours, pour nous baisser à notre tour sur ces petites merveilles de la nature. Elle nous rappelle le pouvoir des fleurs…
Pascale Smeesters – Extrait de la préface

So Small

So Small, Thomas Chauvin, intérieurPremier beau livre du photographe Thomas Chauvin, So Small est une vision de la solitude de l’Homme au coeur du quartier des affaires de la Défense.  C’est le résultat de deux ans d’errance du photographe au milieu des bâtiments de la Défense. Le livre a été financé grâce à une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank.

 

Cette fabuleuse dalle de béton drainant des salariés de toute l’Île-de-France est un véritable labyrinthe désorientant les employés qui essaient simplement de se rendre au travail. Dès que l’on sort des transports en commun on découvre ces immenses bâtiments au milieu desquels nous avons le sentiment d’être une fourmi.
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Le matin ou le soir c’était un véritable exutoire de me balader avec mon appareil photo sur cette dalle. Celle-ci ne se résume pas à l’esplanade et à l’Arche. Une multitude de recoins existe où l’Homme semble perdu, écrasé parfois par la masse du béton et de verre qui se dresse au dessus de lui.
Thomas Chauvin, extrait de la préface.

Sur Paris

Sur Paris, Alain Cornu, intérieur


Premier livre du photographe Alain Cornu, sur Paris est un projet artistique et photographique entamé en 2009. Par cette série de photographies, cet amoureux de Paris, veut rendre hommage à la ville et amener à la regarder différemment. Donnant à voir ce qui est caché au passant de la rue, antennes, cheminées, travail du zinc et des différents matériaux ainsi que redécouvrir les immeubles et les monuments parisiens sous un nouvel angle. Le financement de ce premier beau livre de photographies sur les toits de Paris a été réalisé grâce à une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank.

 

« J’avais des références personnelles très variées, qui allaient des Aristochats, aux peintures de Caillebotte ou VanGogh, ainsi que des films, des romans, des poésies et des photographies dont celles de Brassaï, bien sûr. Mais également des souvenirs d’étudiant, lorsque je logeais dans les chambres de bonnes. »
Alain Cornu

 

Alain Cornu est un photographe Français né en 1966 à Decize (Nièvre). Il vit à Paris. Très tôt, il se passionne pour le dessin, la peinture, la sculpture et la photographie. Après un enseignement secondaire tourné vers les Arts Plastiques, il intègre GOBELINS, l’école de l’image à Paris, où il apprend la technique photographique pendant 2 ans. Il poursuit sa formation en tant qu’assistant et devient professionnel en 1991. Dès lors, son travail va suivre deux voies distinctes et complémentaires. D’abord, le studio dans lequel il développe ses projets de nature morte et de portrait dans le domaine publicitaire. Ensuite, l’extérieur où il élabore sa pratique du paysage. Au cours de ces quinze dernières années, il a exploré la France à travers le littoral atlantique, les zones rurales et la forêt.

Portraits du Rift

Portraits du Rift, Benoit Feron, intérieur


Ce beau livre de portraits photographiques de Benoît Feron a été réalisé à l’occasion de l’exposition de la série Portraits du Rift au Festival International Photo de Montier-en-Der en novembre 2016. Portraits du Rift est un témoignage photographique unique de ces peuples de la Vallée du Rift, dix ans de portraits réalisés avec passion, en parcourant des milliers de kilomètres dans cette partie de l’Afrique, le Berceau de l’Humanité.

Ma démarche, artistique, est certes fortement animée par une recherche d’esthétisme, de l’angle original, de l’émotion exprimée par les sujets photographiés. Une démarche parfois critiquée par certains, mais, comme le dit le grand photographe Sebastiao Salgado, que j’admire autant que son œuvre, « partout les gens sont beaux, partout ils peuvent être représentés de manière digne ».

Cependant, au delà de ma démarche artistique, j’espère pouvoir sensibiliser le lecteur sur l’extrême diversité des ethnies du Rift, sur l’identité propre de chacune d’entre elles et sur leur impressionnante créativité, qui se matérialise au niveau de leurs coutumes, de leur art corporel et vestimentaire ou de leurs bijoux. Elles nous offrent ainsi un spectacle très éloigné du monde globalisé dans lequel nous évoluons de plus en plus en Occident.

Benoît Feron

 

Benoît Feron a réalisé de nombreux voyages dans la Vallée du Rift, dont il a photographié principalement les peuples, mais aussi la nature étonnante dont ses lacs extraordinaires et ses volcans comme le Mont Lengai ou le Kilimandjaro, ainsi que la grande faune africaine des parcs mythiques tels que le Massaï Mara ou le Serengeti. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont « Surma, faces and Bodies » à la Renaissance du Livre en 2007, « Visages de Goma » aux éditions Racine en 2007, et de plusieurs expositions dont African Skins à la Galerie Young et « Portraits du Rift » au Hangar H18 de Bruxelles en 2014 et au Festiphoto de Montier-en-der en 2016.

Japon – D’encre et de lumière

Japon d'encre et de lumière, Jean-Claude Fournier & Frédéric Kuhnapfel, intérieur


Japon – D’encre et de lumière symbolise la rencontre d’un photographe, Jean-Claude Fournier, et d’un calligraphe, Frédéric Kuhnapfel, autour d’une même passion pour le pays du soleil levant. Ni guide touristique, ni essai touristique, ce livre est une invitation à la rêverie et au voyage, une évocation poétique, esthétique et parfois insolite du Japon d’hier et d’aujourd’hui…

Ce beau livre imprimé en HR-UV sur papier Gardapat a été financé en partie par une campagne de crowdfunding sur Ulule.

 

Ce monde imparfait
Mais pourtant recouvert
De cerisiers en fleur
Issa – 1763-1827

 

« Photographier, c’est dessiner avec la lumière » – Son nikon en bandoulière, Jean-Claude Fournier parcourt la planète depuis près de quarante ans, à la rencontre de la faune sauvage et des minorités ethniques. Depuis quelques années, il s’est pris de passion pour le Japon qu’il a visité à plusieurs reprises. Fasciné par ce pays, par sa beauté et pour son rapport à la tradition et à la modernité, il tente, avec sensibilité et talent, d’approcher dans ses images l’âme du grand peuple nippon.

« S’émerveiller devant la sobre majesté de l’encre » – Imprégné de culture japonaise, amoureux de la langue, Frédéric Kuhnapfel a fondé en octobre 2001 l’école Tsukiyo, à La Rochelle, où il enseigne la calligraphie et le sumi-e (peinture à l’encre). Un art qui conjugue avec rigueur et subtilité, technique, philosophie et poésie.  Le sens des lignes, l’épaisseur des traits, l’équilibre des éléments, la gestion de l’espace soulignent autant l’élégance que l’énergie et la sagesse. Quand le pinceau de bambou de Frédéric glisse sur la feuille de papier de riz, plus qu’un caractère d’écriture, plus qu’un dessin ou une peinture, l’encre dévoile l’univers intime de l’artiste.

Comme Sophie Calle

Comme Sophie Calle, Anaïs Hébraed & Mathilde Cudeville, intérieur


Ce superbe livre d’art imprimé sur papier Munken Print White est le résultat d’une rencontre improbable dans un bistrot parisien entre Anaïs Hébrard, femme de théâtre et d’écriture, et Mathilde Cudeville, photographe. Les deux artistes ont décidé d’entamer un travail commun par correspondance entre leurs deux lieux de vie, Saint Pierre & Miquelon et Paris. Deux chantiers se sont imposés à elles, inspirés du jeu du cadavre exquis et des performances de Sophie Calle :

  • d’une part, un jour une photo, le lendemain un texte à partir de cette photo. Puis une photo à partir du texte et ainsi de suite
  • d’autre part, sur le même principe, l’invention de vies à partir de portraits-photos d’inconnus et d’auto-portraits mis en scène.

Comme Sophie Calle a été réalisé à la suite d’une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank. La mise en page et conception graphique a été réalisée par Maya Kechevski.

 

Mathilde est effectivement venue dans nos îles et très vite l’envie d’un travail commun s’est imposé à la table du petit dèj. De cet appétit, notre projet : une photo, un texte, à la manière de Sophie Calle, en puisant dans le quotidien, les rêves, les associations d’idées, les évènements, les absences, les flops et les rêves

 

Née à Strasbourg, Anaïs Hébrard est franco-suisse et a débuté sa carrière artistique avec la danse, le théâtre, une compagnie de marionnettes, et en animant des ateliers et stages de théâtre. Elle s’est installée à Saint Pierre & Miquelon en 1997 où elle continue son travail de création, de mise en scène et d’écriture au Centre Culturel et Sportif Territorial de l’archipel, sans oublier son travail pédagogique auprès des petits et des grands.

Mathilde Cudeville est née à Pontoise. Passionnée par les voyages, Mathilde part de Madagascar en Inde en passant par le Népal, et décide de faire de la photographie son métier en l’étudiant à l’ICART. Comme Sophie Calle est le fruit de son premier travail : inventer un livre à partir d’images de l’archipel de Saint Pierre & Miquelon où elle décide de passer plusieurs mois.

Autoédition : le retour d’expérience de Thomas Chauvin

Samedi 25 février dernier, Thomas Chauvin fêtait le finissage de son exposition So Small au Photoclub Paris Val-de-Bièvre, et concluait ainsi une excellente année. En effet, 2016 aura vu le photographe remporter le prix Jean et André Fages à la Foire internationale de Bièvres, rejoindre le Studio Hans Lucas, et éditer son premier livre, So Small, suite à une très belle campagne de financement participatif sur KissKissBankBank.

Escourbiac l’imprimeur était bien sûr présent à cette soirée, fier et heureux d’avoir réalisé So Small, ce beau livre photo noir et blanc de 80 pages imprimé en bichromie. Sur la photo, de gauche à droite : John Briens, responsable commercial Escourbiac, Marie-Jo Masse, responsable de l’organisation de la Foire de Bièvres, et Thomas Chauvin, son livre dans les mains.

Le 7 février 2016, Thomas Chauvin écrivait sur son blog un excellent article : Retour d’expérience sur l’autoédition, que nous vous invitions à lire sur son blog. Vous trouverez sur la gauche les passages consacrés à l’impression du livre.


Finissage de l'exposition So Small au Photoclub Paris Val de Bièvre

Exposition So Small au Photoclub Paris Val de Bièvre

Soirée de finissage de l'Exposition So Small au Photoclub Paris Val de Bièvre

John Briens, et Thomas Chauvin au finissage de l'exposition So Small

So Small, Thomas Chauvin, couverture

Benjamin Degrève : Il n’y a pas de hasard

Fin décembre 2016, Benjamin Degrève était tout heureux de voir son livre sortir des presses de l’imprimerie Escourbiac à Graulhet. Il réalisait à cette l’occasion du calage, et en direct de Graulhet via Instagram, une petite vidéo enthousiaste avec son smartphone dans laquelle il déambulait, fier et heureux, au milieu de l’imprimerie.

C’était la concrétisation de plus de deux ans d’une quête insolite à travers la France, armé de son appareil photo et de son inséparable fauteuil Voltaire. “Voltaire Tour, eux, Livre 1”, est un beau livre photo avec des portraits de gens, une série de rencontres sincères et émouvantes, et l’histoire d’une parole donnée et tenue à Jocelyne, sa mère.

Jeudi 2 février dernier, Benjamin a été interviewé par l’agence éditoriale Netalinea. L’intégralité de l’entrevue est à lire sur leur site : Benjamin Degrève, il n’y a pas de hasard. Voici les extraits concernant plus particulièrement Escourbiac l’imprimeur pour lequel le photographe ne tarit pas d’éloge sur la qualité de son accompagnement.


Benjamin Degrève chez Escourbiac l'imprimeur à Graulhet


Netalinea : par contre, dès que le travail fut terminé, c’est allé très vite pour l’impression.

Benjamin Degrève : ah oui, j’ai appelé John Briens de chez Escourbiac à la mi-décembre, lui ai envoyé les fichiers, et trois semaines après le livre était bouclé !

Netalinea : justement, comment as-tu connu l’imprimerie Escoubiac ?

Benjamin Degrève : encore le hasard (qui n’existe toujours pas) ! Et encore une histoire Humaine ! C’est un ami qui m’a proposé de l’accompagner au Salon de la Photo en Novembre 2015. J’y suis allé sans trop de conviction, et je suis tombé sur ce bonhomme avec des lunettes. John Briens. On a discuté, il m’a dit qu’il était imprimeur. Je lui ai demandé si un imprimeur éditait aussi des livres – je ne connaissais vraiment rien de ce métier, et de toutes les étapes de fabrication d’un livre. J’ai de suite cru en eux.

John m’a conseillé, il m’a surtout convaincu qu’il ne fallait pas faire n’importe quoi, que mon projet était beau et qu’il y croyait. Ça aussi c’est important, de se sentir suivi, porté même. Nous avons eu des prises de tête tous les deux, quelques moments un peu chauds, mais toujours respectueux. Je suis quelqu’un d’assez naturel, déterminé et de stressé aussi. John, et de manière générale Escourbiac, a toujours été à l’écoute de mes besoins, m’a toujours suivi, et motivé même quand j’en avais besoin. Au-delà de l’entreprise, j’ai de suite senti qu’il y avait une véritable histoire familiale derrière cette imprimerie. Je vais te dire, dès la première poignée de main chaleureuse avec John, j’étais en confiance.

Netalinea : c’était fin 2015 donc, tu avais déjà commencé ton premier crowdfunding.

Benjamin Degrève : oui. Novembre 2015. D’ailleurs, je n’ai demandé aucun autre devis à un imprimeur. Je savais que ce serait avec eux. Mon père, qui a eu plusieurs entreprises, m’a dit que j’avais eu de la chance ! Que j’aurais pu tomber mal, ou gagner quelques milliers d’euro chez un autre. Mais quel intérêt ? Pour le faire imprimer à l’étranger ? Je n’aurais pas pu avoir le contrôle de toute la création et édition.

Chez Escourbiac, ils ont vite compris que je n’étais pas un pro – même si parfois ils l’oubliaient aussi un peu, je devais leur rappeler. Ils m’ont dit de prendre mon temps, de ne pas aller plus vite que la musique. Ils ont toujours été disponibles. Et ça c’est super important, surtout quand tu ne sais pas et que tu es inquiet : j’ai toujours eu une réponse à mes nombreuses questions !

Sur la couverture par exemple, c’est John qui m’a conseillé le vernis sélectif. Puis au moment de la réalisation, dans leur locaux, au pied de la machine, c’est Philippe Escourbiac qui m’a parlé de problème technique, et qui m’a proposé d’utiliser le Soft Touch, sans supplément de prix. Il a trouvé la réponse technique, mais aussi Humaine – il savait que je n’avais pas plus de budget.

Je trouve que le Soft Touch, rappelle le velours du fauteuil !

Tout ce livre de toute façon est une histoire Humaine, une connexion d’humains, du début à la fin !


Benjamin Degrève, Voltaire Tour, eux, Livre 1, couverture


Netalinea : elle est belle ta couverture. Sobre et épurée, avec le Voltaire en filigrane.

Benjamin Degrève : oui, et c’est le vrai Voltaire hein ! Si tu regardes bien, remonte du pied droit, et tu vas voir un petit trait blanc : c’est une égratignure.  Il est abimé, c’est un vestige de tous les voyages qu’il a fait avec moi pendant tout ce temps ! D’ailleurs, c’est ma voiture qui a rendu l’âme juste à la fin du Voltaire Tour. Le Voltaire, lui, je vais faire quelques frais dessus, renforcer le fauteuil.

Netalinea : et chez Escourbiac, à l’imprimerie, ça s’est passé comment ? J’ai vu ta vidéo au moment du calage…

Benjamin Degrève : le calage, c’était vraiment impressionnant. Et j’ai été super bien reçu. Pourtant, la première émotion qui m’est venue fut de vivre un grand moment de solitude. J’avais envie de partager ce moment, et j’étais seul. C’est pour ça que j’ai fait cette vidéo d’ailleurs, pour le partager ce moment, et oublier cette solitude. Même si je n’étais pas non plus vraiment seul, j’ai eu Anaïs au téléphone, mon père, mes amis… Mais j’habite à 1000 km de Toulouse ! J’ai fait 2000 km en 2 jours pour ce calage.

Tout le monde a été adorable chez Escourbiac. Benoit, le chef d’atelier, a d’entrée été super cool. Il m’a dit de poser ma chaise, mon appareil photo, et proposé de prendre un café. Les autres aussi se sont occupés de moi, Yves, MarcChristophe, ont été adorables et à l’écoute. J’adore tout ce qui est high tech, et là, non seulement il y avait l’émotion de voir mon livre se réaliser sous mes yeux, mais en plus j’apprenais des choses, c’était vraiment instructif. J’étais comme Alice au Pays des Merveilles (rires). Je suis même reparti avec les planches aluminium, ils ont eu la gentillesse de me les laisser. Je vais les découper, les plastifier, et les utiliser pour une expo… Une conférence peut-être.

 

 

Les demeures invisibles

Ce voyage photographique s’appuie sur le livre Les Villes invisibles d’Italo Calvino : l’ouvrage de Sylvain Heraud s’articule en sept séries qui illustrent sept villes imaginées par l’écrivain italien. Les photographies présentent les caractéristiques des villes imaginaires choisies et invitent le lecteur à se les représenter. Ce recueil photographique se nomme donc Les Demeures invisibles, en parallèle au livre Les Villes invisibles.

 


(suite…)

Pratiquer : l’art et la matière vétérinaire – histoire d’un projet exemplaire

Début mai, le photographe et vétérinaire Frédéric Decante lançait une campagne de financement participatif sur Ulule afin d’auto-éditer son livre.
Sous le titre « PRATIQUER l’art et la matière vétérinaire », Frédéric Decante présente différentes facettes des vies de tous ces vétérinaires qui soignent des animaux, …

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