Dire Moby-Dick

D’abord conçu pour donner à entendre la lecture francophone, ininterrompue et inédite des 139 chapitres du roman de Melville, Moby-Dick ou le cachalot, Dire Mobby-Dick est un ouvrage collectif réalisé par des artistes et des étudiants-chercheurs en Art de l’Université de Bordeaux Montaigne sous la direction de Pierre Baumann. Pendant un an, une équipe de chercheurs et étudiants artistes plasticiens et sonores, écrivains et traducteurs, ont imaginé une nouvelle écriture artistique autour de l’écosystème melvillien. L’ouvrage est augmenté par des liens sonores (soundcloud lecture et créations) et vidéos (objets libres sur Viméo). A noter la belle couverture noire imprimée en numérique et rehaussée d’un subtil gaufrage.
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Réinventer l’école – Enquête auprès des enfants réfugiés au Liban

Pour témoigner de la situation des enfants syriens réfugiés au Liban – 500 000 enfants en âge d’être scolarisé – l’Organisation Internationale de la Francophonie a souhaité publier l’ouvrage Réinventer l’École en coédition avec Ici&Là – Reportages Poétiques, fruit d’une enquête auprès des enfants réfugiés au Liban menée en décembre 2017. Cet ouvrage est le résultat de trois regards différents – Marion Coudert, écrivaine du réel, Yamen Manaï, écrivain lauréat 2017 du Prix des Cinq Continents de la Francophonie, et Nicolas Tarek Camoisson, photographe et fin connaisseur du Proche-Orient – et prend le contrepied de l’image souvent dégradante et altérée dont pâtissent les migrants et les réfugiés.

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Autour d’Henri Martin : les chemins du post-impressionnisme

Autour d'Henri Martin, les chemins du post-impressionnisme, Musée du Pays du Vaurais, Lavaur, intérieur livre ouvertCatalogue de l’exposition Autour d’Henri Martin : les chemins du post-impressionnisme du 20 mai au 17 septembre 2017 au Musée Municipal du Pays Vaurais à Lavaur dans le Tarn.

 

En son temps, Henri Martin fut célèbre et fit partie du Tout Paris. Il appréciait les honneurs et les décorations, fréquentait le personnel politique de la Troisième République et reçut même une commande pour l’Élysée, lieu qu’il trouva cossu.
Il portraitura Jean Jaurès dans sa maison de campagne et Madame Viviani dans son salon. Maurice Denis et Le Sidaner firent partie de ses amis tandis que l’atelier de Rodin était voisin du sien. Le monde littéraire l’appréciait aussi puisque Edmond Rostand lui confia une décoration pour sa maison du pays basque et que Guillaume Apollinaire citait son bonheur de peindre. Si Seurat l’accusa de plagiat, Puvis de Chavannes l’adouba.
Claude Juskiewenski, « La paradoxe d’Henri Martin », extrait
L’exposition du musée de Lavaur propose pour la première fois d’examiner l’influence, supposée ou réelle, que le maître a pu exercer sur la génération de ses contemporains – souvent amis – et de ses suiveurs. Ces chemins du post-impressionnisme ont en effet guidé nombre d’artistes de « l’école toulousaine », particulièrement sensibles au paysage. A travers un choix non exhaustif de plus de 70 toiles et dessins – dont une quinzaine du maître lui-même – entre points, virgules et pavés de couleur, sont ainsi révélées les trajectoires et préférences picturales d’une quinzaine d’artistes régionaux.
Paul Ruffié, conservateur en chef du Patrimoine.

100 portraits de Buressois

100 portraits de Buressois, photographies Jean-Marc Besacier, Mairie de Bures-sur-Yvette, intérieur livre ouvert

Le beau livre 100 portraits de Buressois est une commande de la mairie de Bures-sur-Yvette au photographe Jean-Marc Besacier : tirer le portrait des habitants de la ville. Un livre sans pratiquement aucun texte, qui raconte un personnage par sa photo. 100 Buressois, 106 exactement, tous choisis par le photographe et immortalisés dans un magnifique noir et blanc pendant leur activité favorite.

 

En parcourant cet ouvrage, vous découvrirez ainsi des gens connu et moins connus, mais aussi beaucoup d’anonymes, de tous âges, croqués chez eux, dans leur jus. Jean-Marc en a choisi beaucoup et j’ai vite compris que la maîtrise du choix des modèles par l’artiste faisait partie intégrante de son inspiration.
Jean-François Vigier, maire de Bures-sur-Yvette, extrait de l’introduction

 

Petit bonheur, pour l’une, de fabriquer de ses mains de beaux objets, petit bonheur pour un autre de jouer d’un instrument de musique, petite bonheur encore pour celle-ci de pratiquer de longues courses à pied dans la nature, de contempler un lac ou enfin, pour quelques-unes ou quelques-uns, petit bonheur d’être tout simplement là, de poser devant l’objectif, de se trouver un peu hors du temps.
Ces cent six portraits reflètent, je le souhaite, ce que vous possédez tous en commun : la générosité.
Enfin, l’exposition de vos petits bonheurs… a fait aussi celui du photographe !
Jean-Marc Besacier

Chédigny – La vie en roses

Chédigny, La vie en roses, Sonia Lesot & Georges Lévêque, Noctuelles Editions, intérieur livre ouvert

Cet ouvrage est la 3ème édition d’un livre publié en novembre 2013 par Sonia Lesot et Noctuelles Editions, et déjà venu à 4500 exemplaires. C’est George Lévêque, le photographe des jardins et des fleurs, qui a eu l’idée d’un beau livre sur les roses de Chédigny.

Chédigny – La vie en roses est une véritable œuvre collective qui a réunit en plus des auteurs la Mairie de Chédigny,  l’Association Roses de Chédigny et le Guide floral du Festival des roses.

 

Osez « La vie en roses » !

Le temps d’une pause.
Ouvrez ! et découvrez Chédigny ;
Un village devenu jardin.
Un paradis, on vous le dit,
où les roses se sont emparées
des rues pour les mieux parer.
La saga de cette métamorphose est sa genèse
vous sont contés en prose
dans un écrin littéraire consacré aux roses…
Un itinéraire tout en photographies s’y appose
Et dessine les portrait de ces belles
Qui, pour l’occasion, ont pris la pose.

Quatrième de couverture

Habiter la cour, actionnage n°11

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, intérieur

Habiter la cour, actionnage n°11 est le témoignage du partenariat entre Lizières, centre de cultures et de ressources, et le collège Jean Racine de Château-Thierry, dans le cadre d’un atelier artistique soutenu par le rectorat de l’académie d’Amiens, le conseil départemental de l’Aisne et la DRAC des Hauts de France. Habiter la cour est une œuvre proposée par les élèves, transformant cet espace du présent en un lieu d’agissement et de création : la cour est devenue à la fois support et matériau de l’œuvre. Ce beau livre propose de rendre compte de ce travail par des photos et des extraits d’entretien entre divers acteurs du projet : Ramuntcho Matta, artiste, Martine Schwebel, présidente des Amis de Lizières, les élèves de l’atelier artistique et Edouard Smith, enseignant en arts plastiques.

 

Le collège et la cour deviennent deux espaces publics auxquels les élèves sont confrontés. Quelles sont les relations qu’entretiennent les élèves à la cour et à l’autre : la cour est-elle habitée ? Habiter, ce n’est pas posséder l’endroit mais avant tout « se tenir », c’est une manière d’être. Et ici, c’est être avec les autres. Quelles sont ces habitudes liées à cet espace singulier du collège, où tout le monde se rassemble ? Comment un travail artistique, à l’issue des réflexions des élèves, pourra proposer de penser ce lieu autrement ?
Extrait du quatrième de couverture.


Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, couverture ouverteBrochure collée en onglet en plat III de couverture, à la Suisse

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, couvertureCouverture visible sous la sur-couverture

Habiter la cour, actionnage n°11, collectif, Sometimes Studio, intérieur

Rapport d’activité 2015 Elogie

Rapport d'activité, Elogie, intérieur

Brochure présentant le rapport d’activité 2015 d’Élogie, bailleur social de la ville de Paris. L’intérieur du document est imprimé en quadrichromie sur deux papiers de qualité différents pour bien différencier les différentes parties : rapport d’activité, rapport RSE et comptes annuels.

Occitanie, le plus beau royaume sous le ciel

Occitanie, le plus beau royaume sous le ciel, Onésime Reclus & Paul Palau, édition aux 4 vents, intérieur


Occitanie, le plus beau royaume sous le ciel est un très beau livre imposant présentant plus de 320 pages illustrées par les très belles photos des paysages d’Occitanie de Paul Palau (photographe publié régulièrement dans Terres Catalanes, Pyrénées Magazine…) et appuyées par les textes intemporels du célèbre Géographe Poète du 19ème siècle, Onésime Reclus.  Le livre est édité chez Aux 4 Vents Editeur. Vous pouvez découvrir la vidéo de présentation du livre sur le site de Lirelif – Librairies Régionales en Ligne de France.

 

Cet ouvrage est pur comme la nature qu’il met en valeur. Il respire, il impose de s’arrêter, d’interrompre le tumulte du minde et d’admirer. Il crée le désir de la découverte de notre terre, une terre de nature et d’histoire, une terre d’avenir. J’espère qu’une fois ce livre refermé, chacun pourra se sentir porteur d’un héritage : celui que nous offre la géographie et l’histoire de notre région, une région forte, généreuse, magnifique, passionnante et passionnée. Bonne lecture et bonne balade.
Carole Delga – Présidente de la Région Occitanie / Midi-Pyrénées – Extrait de la postface.

 


Occitanie, le plus beau royaume sous le ciel, Onésime Reclus & Paul Palau, édition aux 4 vents, intérieur

La Réunion par Michel Marot

La Réunon │Michel Marot, Ter'la Editions, sous la direction de Yves Michel Bernard, intérieur

En 1965, Michel Marot, architecte et urbaniste est choisi par le Ministère de l’Éducation Nationale pour dessiner le futur campus universitaire du Moufia à Saint-Denis. Il réalisera à La Réunion jusqu’en 1982 de nombreux autres projets. Cette publication, sous la direction de Yves-Michel Bernard, nous conte l’histoire de cette aventure architecturale appartenant au patrimoine de la Réunion du XX° siècle. Cet ouvrage a été réalisé grâce au soutien de la Dac-oi (Direction des Affaires Culturelles – Océan Indien).

 

Cette étude, menée en sollicitant les acteurs de cette période et en étroite collaboration avec Michel Marot et Jean-Daniel Douady, met en lumière un aspect très méconnu de son travail. Elle a été conduite par des architectes, des enseignants et des étudiants de l’ENSAM Réunion. Ce travail nous a amené à dépasser la seule étude des formes de l’architecture suivant une méthode d’analyse et d’interprétation propre à l’histoire de l’art, pour aborder une grande variété d’approches (sensibilité au minéral, à la végétation tropicale) mobilisant une pluralité de compétences et de pratiques.
Yves Michel Bernard.

 

Minois – L’arbre qui cache la forêt – Œuvres peintes de 2008 à 2017

Minois, l'arbre qui cache la forêt, oeuvres peintres de 2008 à 2017, intérieur

Ouvrage publié à l’occasion de l’exposition au Musée des Beaux-Arts de Gaillac, du 25 mars au 28 mai 2017, L’arbre qui cache la forêt présente des œuvres peintes par Régis Minois entre 2008 et 2017. Cette exposition a été organisée grâce au concours de la Ville de Gaillac et a bénéficié de l’aide de Christine Marsaudon et Yves Durkheim, tous deux cofondateurs d’Artuoz et collectionneurs de l’œuvre de Minois depuis 1994.

 

Après avoir baigné dans la lumière de l’Italie, Régis Minois a trouvé en Albigeois une terre d’accueil où la nature tarnaise lui a livré les nuances colorées dont il ne cesse depuis de transcrire toutes les sensibilités. Le regard aigu de Minois et son geste pictural précis ont su capter tout l’éphémère des vibrations de la lumière sur l’eau, des effets du soleil sur la nature et les arbres. Les recherches chromatiques et sa pâte ont créé ainsi des rendus qui surprennent le regard, alternant des plongées dans l’œuvre avec des effets miroir qui désorientent et fascinent à la fois. Les effets projetés sur de grandes toiles, voire des polyptiques enveloppent le spectateur dans un univers onirique où l’on hésite entre le calme des profondeurs et les effets cristallins et vibrants des lumières fugaces. Le peintre est toujours à la lisière de deux univers dans une veine impressionniste mais complètement revisitée et sublimée.
Bertrand de Viviès – Conservateur des musées de Gaillac